Tango

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Hier, mon ami…

Pablo y Vargas y Hombre y Cantar de los Tangos de Galicia
… vint me saluer, il venait en France pour vendre de la viande, à un distributeur… je l’avais rencontré du côté du Finistère… là-bas, il élève des taureaux… ho ! ho !

… Oh ! Ange… (Ange, c’est moi : L’Ange Boufaréu)
… si tu savais ce qui m’arrive…
bebe tu pastis luego hablaras… a tu salud Pablo…
a tu saludAnge !

Il boit et claque la langue… en posant le verre… que je remplis… à nouveau…

… tu as lu le journal Francès, il dit que les Français doivent arrêter d’élever les vaches… ellos están locos… tu sais pourquoi ?
… si, los Verdes Francès de la política dicen… (les Verts français de la politique disent) que les vaches pètent trop elles saturent le ciel de flatulences… alors, il faut arrêter de les élever en France… sinon on va mourir asphyxiés…

Pablo me regarde, tel une statue de sel des époques bibliques… incrédule…
que passa Pablo ?
… je commence à comprendre… imagine-toi, je suis allé dansé le tango… tu sais que j’adore le tango…
… et ?
… et ! j’invite una bella chica… rubia… preciosa… moi, j’aime les filles blondes… en chair… j’avais demandé un tango torride… alors, je m’emploie à donner à la bella chica le meilleur de moi-même, tu sais avec la main dans le dos pour la guider, je lui invente des véroniques de matador, des figures extraodinaires, je la sublime avec mes politesses d’hidalgo, vé Ange, une merveille… tu sais que je danse comme le dieu du tango…
… si… et au passage tu frottes un peu…
ben c’est normal… c’est tango… la chica s’arrête, elle me fait une tête de sept pieds de long, elle veut retourner à sa place toute seule alors que le torero doit la raccompagner… elle me toise et alors que la musique repart pour un autre tango… elle me dit :
… merci, ça va, un seul tango… monsieur… ¿cómo te llamas?
Pablo, mi nombre es Pablo¿Qué está pasando? Qu’est-ce qu’il se passe ?
… moi c’est Fernande, assieds-toi hidalgo, je vais t’affranchir… qu’elle me dit.
… mon pauvre Ange, la honte que j’entends, tu vois la preciosa me dire à moi que je suis plus à la page et m’ordonne de m’asseoir, le monde à l’envers, comme les vaches Francès qu’il faut plus élever parce qu’elles pètent, mais c’est la nature, comme le tango… c’est un grand hommage à la femme…

ici, dit-elle… qu’est-ce que tu bois Pablo?
Tequila…
… ici, jadis… les « blancs » nous servaient la même guimauve… la grande tirade de la courtoisie, la politesse, la main dans le dos pour te manipuler, les courbettes que tu aurais gymnastiquées en inspectant la femelle pour savoir où comment et quand tu vas la baiser… et je te pelote… et je te frotte… et je te déverse des prédicats mielleux… et je te raccompagne avec des courbettes… et je te joue le romantisme latin…
… Ange… j’en croyais pas mes oreilles…
… ben tu vois Pablo… ici, c’est fini…
… mais la politesse… ça existe…
… ouais, la politesse édictée par l’homme blanc… catho… paternaliste… prétexte à endormir tes défenses… pour mieux te baiser… ça suffit… dominateur!
… mais il y a des différences…
… il n’y a plus de différences… à présent, pour venir dans l’hémicycle on porte la cravate et le pantalon, inaugurés dans les années 60 par Saint Laurent…
… mais c’était un…
… qu’est-ce que tu as contre eux… ? À présent on est identique…
… ben pas tout à fait…
… tu plaisantes Pablo… qu’est-ce qu’il manque ?
… ben… dans ma culotte… y’a un bout… que tu n’as pas…
… t’as vu la vague « genrée » pour réduire ce petit pédoncule inutile… tu es contre l’égalitaire ?
… je ne vois pas l’égalitarisme… il y a la femme et il y a l’homme… et basta !
… depuis deux mille ans d’erreur historique… on nous a parqué dans le clan nana… c’est marre… il n’y a plus ni vierges ni nubiles ni gravides ni ménopausées ni même femelles… c’est fini le clair-obscur de l’être et du paraître… à présent c’est l’égalité… au pouvoir… on a décidé de choisir son genre…
… pas possible…
… c’est ça, la côte d’Adam devenu le souillon du mec… non ça ne passe plus… il faut regarder le réel, le vrai… à présent, nous avons la capacité de nous recréer, de nous gouverner nous-mêmes, nous avons atteint la maturité… et la maturité des masses ne tardera pas… les différences seront laminées…
… en coupant tout ce qui dépasse ?
… en coupant tout ce qui ne sert à rien… à l’apothéose de l’égalité… par décision de nous-même… la cravate et le pantalon ne sont pas des attributs du pouvoir paternaliste, ils sont universels…
… j’y comprends rien… alors ça va que dans un sens… mais, dis-moi, comment on fait los niño… y los niña…
… la science est universelle, elle peut tout… c’est le sens de l’histoire… il n’y a plus de sexes discriminants… on choisit… son genre…
… Ange…
… je te jure… j’avais plus envie de tango… ni de Tequila, elle m’avait foutu les jetons la… le… vis-à-iel… pourtant il y avait une question que je voulais poser… je ne savais pas comment la formuler…
Mais comment dire elle… il… iel me regarde… tu sais plus.
… tu voudrais que je réponde à la question qui te démange…
… est-ce possible… mademoiselle Fernande ?
… y a plus ni la mademoiselle… ni le Fernand de jadis… j’ai décidé de choisir mon genre… en coupant ce qui me gène…
Fracassé… le Pablo… devant un sujet si peu véniel puisque réduit à iel
… je crois que je dois y aller… Ferna…nan…dan…na…no…tan… go!
Buenas Tardes Pablo… la tequila, c’est pour moi…

Je sortis… j’étais sonné, j’avais rien bu… il faisait nuit dehors et dans ma tête…
… tu sais pas Ange… pendant tout le temps que je marchais pour revenir à mon hôtel… je me disais :
“Putain Pablo… tu te fais vieux! Tu as fait un tango avec un mec raccourci… tu t’en es même pas rendu compte, en plus tu avais envie de la… le… bais-iel !”
… Ange mi amigo… el futuro es oscuro… ya no entiendo nada…
Demain, je retourne chez moi… je reviendrai plus dans ton pays… là-bas chez moi j’irai vivre avec mes vaches qui continueront de péter dans mes champs… et je te vendrai ma viande sur le Net…
… estos Francés realmente se quedaron… ils sont demeurés… de bêtise… totale…
Adios Ange… amigo.

                                                    Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez l’opus “Le Fils du Vent”
                                                                                        L’Ange Boufaréu

 

 

 

 

 

… interpréter les prédicats… du “résident”

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« Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »

Avons-nous bien lu ?
Ouvrons, le manuel de physiologie : pour produire la phrase-titre, l’homme qui cause, a utilisé les poumons, le larynx, la langue, les lèvres et le voile du palais…
… le palais de l’Élysée ?
… c’est ça, l’homme du palais se déplace, il transporte « son organe de la parole »
… c’est là qu’il dévoile… son larynx…
… oh ! il m’escagasse ce type…
… qui rime avec syrinx, la flûte de Pan…
… c’est ça, la flûte de Pan du « flûtiste » il a é-mifa, sol, la, si, do… cette phrase, il y a six ans… à cette époque, le monde était encore vierge de sa jactance…
Stupéfait d’ouïr : « Il n’y a pas de culture française. »… le peuple attendit la suite…
Depuis, hélas ! hélas ! hélas !… écho des mannes de nos ancêtres.

Définition : « Dictionnaire de Philosophie » de Jacqueline Russ. (Bordas 1991)
Sens courant : formation spirituelle, ayant élevé le goût, l’intelligence et la personnalité à la dimension de l’universel. L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement…

Analysons le prédicat du quidam qui prononça cette phrase, lequel ci-devant, adoubé,  généra plus tard, d’autres approches « diachroniques », mais il n’a pas varié quant au fond « synchronique »
Il est vrai, que tout un chacun énonce un jour le contraire du jour caduc.
Mais le « résident » n’est pas un simple péquin, il se veut salvateur… si… si… sauver cette France où « Il n’y a pas de culture française… »
Lors de l’époque diégétique où il n’était qu’impétrant-futur-résident, il commit ce projet salvateur dans un opus célèbre paru en 2016 : « Révolution »(sic) où il divulguait les prolégomènes de ses actes futurs.
À présent, il occupe le strapontin du mont-ticule faubourg saint honoré, il fut élu par un peuple…
Sans doute, ce peuple a lu l’opus, qui aurait pu être écrit en volapük.  Or, le peuple nourri de culture française… lit le français… sur le sol français… en France, depuis l’Édit de Villers-Cotterêts… où François le Premier instaura le « français »

Avec vous mes frères, ouvrons l’opus… puisque nous faisons partie de ce… bis…
Chapitre N°1 « Ce que je suis » pages 11 à 32…
Nous lûmes haletant ce chapitre générique (21 pages, soit 7,924528301% du tout qui en compte 265) quant à la construction physico-chimique autant que psycho-éduco-sociologique, autrement dit l’état ontologique de l’impétrant, avec attention.

À l’énoncé de ses maîtres et relations, nous supposâmes que son acquis était le fruit de la Culture  Française… jugez-zan !

« … apprendre la grammaire, l’histoire, la géographie… »… lire Molière, Racine, George Duhamel, Mauriac, Giono… écouter Léo Ferré… découvrir le chat de Colette… Gide et Cocteau, mes compagnons… écouter Chopin en découvrant Giraudoux… étudier le piano et le théâtre… emprunter les chemins de Flaubert, Hugo… Balzac… « J’avais une obsession, une idée fixe : vivre la vie que j’avais choisie… » alors… la chance fut la rencontre avec le philosophe Paul Ricoeur.

Viatique lapidaire de ce compagnonnage(sic) :
«  Ne jamais céder à la facilité des émotions ou de ce qui se dit. Ne jamais s’enfermer dans une théorie qui ne se confronte pas avec les choses de la vie. »

… puis ce fut la banque Rothschild…

Pensez-vous ! peuple que cette banque eût accueilli… un neuneu… un inculte… un néant culturel… « a man without culture ? »… ah comme c’est mieux en anglais ! Yeh !
Vous avez raison, cette banque n’intègre que des gens cultivés qui ont la capacité de comprendre la structure complexe des situations, ceux qui ne « cèdent pas aux émotions »… « ceux qui ne s’enferment pas dans une théorie… »

Alors peuple, vous l’avez élu grâce à cet impensé : « il était beau… il sentait bon le sable chaud… »
Comme l’énonce le philosophe germain du dictionnaire de Jacqueline Russ :
« Produire dans un être raisonnable cette aptitude générale aux fins qui lui plaisent en sa liberté : c’est la culture »
… l’impétrant affirme sa voie :
« J’avais une obsession, une idée fixe : vivre la vie que j’avais choisie… »…
« Ne jamais s’enfermer dans une théorie qui ne se confronte pas avec les choses de la vie. »
… c’est ainsi… selon la définition du dictionnaire, après avoir élevé sa : formation spirituelle, ayant élevé le goût, l’intelligence et la personnalité à la dimension de l’universel. L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement…

… et son jugement alors fut :

« Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »

Il n’y avait aucune justification à émettre un tel propos seulement, prouver que : L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement… peu importe ce qu’il dit !
… dans le Midi provençal, on dirait : « la culture me n’en caga ! » Inutile de traduire !
Or le « résident » n’est pas natif provençal…
C’est grâce à sa culture, qu’il devint « résident »… dixit l’opus…
Mais… le parvenu nie la culture, il se libère gratos, il s’éclate comme disent les mômes…
Car… « L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement. »
C’est ça, après avoir tiré la substantifique moelle de la culture française… il décide… qu’il n’y a pas de culture française…

Exit Clovis 1er, couronné roi des Francs en 481, premier monarque en France qui depuis agrège et construit sa culture vernaculaire autour de cette base… Clo-Clo… serait un roi entre autres… d’autres lois… d’autres peuples… d’autres religions… un bazar melting-pot indistinct divers… depuis 15 siècles sans avoir créé une culture identifiable… avec migrations sans frontières… puisque :  

« Elle est diverse »

« Mais bon sang, mais c’est bien sûr » aurait dit Raymond Souplex… vous en doutiez?Cette qualification affranchit le « résident », dès lors, il ne se prive pas de « diversifier » ses prédicats… dans ses causeries ampoulées… devant ses cours ravies…
Le philosophe de Königsberg, le petit père Kant, l’a écrit :
L’homme doit être cultivé. La culture comprend l’instruction et les divers enseignements. Elle procure l’habileté.
Le « résident » a acquis « l’instruction et les divers enseignements » qui depuis Clovis 1er fleurissent dans l’hexagone sous le terme générique de Culture Française…
Mais lui, « résident » fait fi des Nobel, les écrivains Français dans ce petit bout d’hexagone, où la Culture française est la plus titrée… ces textes l’ont formé…
Il poursuit pourtant, la tradition depuis 1959, quant à nommer une Ministre de la Culture… à quoi sert-il ce ministère, s’« Il n’y a pas de culture française ? »
Laquelle Ministre de la Culture répondit lors du récent Molière dans une ubuesque mise en scène que « … ce ministère de la culture… défend haut et fort l’exception culturelle française ! »
Mais, s
« Il n’y a pas de culture française »… pourquoi y aurait-il une « exception culturelle française ? »
Incohérent… ci-devant « résident »
Revenons à Kant… une autre Kultur assumée :
« L’homme doit être cultivé. La culture comprend l’instruction et les divers enseignements. Elle procure l’habileté. »

„Danke, Herr Doktor Philosoph, Sie haben alles verstanden.“

Voilà la raison, la culture « Elle procure l’habileté ! » de prétendre en tant que “résident”  qu’il n’y a pas de culture française…
Ce n’est pas la seule cuistrerie… mais qu’y faire quand les gazettes autorisées se taisent…
Les autres chapitres de l’opus 2016 semblaient…
Il faudra patienter… le futur « résident »…

En l’attente, on aurait envie de parodier la citation du « résident » je n’y puis résister…

« Il n’y a pas de dessein français. Il y a un gribouille hexagonal. Il effeuille ses divers habiles prédicats. »     

                                                Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
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                                                                                        L’Ange Boufaréu

… onde de choc… après l’allocution du “résident”…

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Car c’était un choc… pour le prouver, il faut toujours revenir à la source… la lecture du prédicat édité en 2016… alors que le scribe n’est pas encore candidat… même s’il l’était in petto… dans son fort intérieur… donc masqué… à l’affût… que disait le porte plume?

Page 244, chapitre : Rendre le pouvoir à ceux qui font.

“Ce qui alimente la colère ou le rejet de nos concitoyens, c’est la certitude que le pouvoir est aux mains de dirigeants qui ne leur ressemblent plus, ne s’occupent plus d’eux.
Tout notre malheur vient de là!”

Ô quidam… comment pouvez-vous, vous révolter contre un homme qui fait preuve d’une telle lucidité qui prédit l’avenir avec une telle clarté…
En 2016… date du palimpseste nous en étions con-fondus… à présent con-tris… hélas con-fus…
A moins que celui qui causa ce 17 avril n’est pas l’icelui qui écrivait jadis… mais alors… si celui qui sait… n’agit pas en fonction de sa science…c’est que sans doute celui qui cause n’est pas celui qui écrit… mais alors qui est-il?
Peut-être devrions-nous élire un non-sachant authentique…
C’est une hypothèse… bien… impro…

En ce soir de lendemain du jour qui vécu cet instant morganatique… car c’est bien un mirage que nous vîmes… même s’il était en numérique… alors, nous avons repris le livre pénétré les entrailles de l’opus “Révolution” aux XVI chapitres pour nous préparer à l’écoute du nouveau prédicat… car le “résident” nous a donné rendez-vous “dans 100 jours”… il napoléonise le bougre… là vous verrez ce que la dame de Matignon… mais chut… 100 jours… relisez… il n’y a pas grand chose à faire… soyez-prêt.

                                                Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
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                                                                            L’Ange Boufaréu

le “résident” a promulgué… le texte… le 15 avril 2023…

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     Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes                                                                        Gentilés                                                                          Si le voulez bien                                                                        Lisez suite jour prochain ... vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/ ... vous trouverez l'opus "Le Fils du Vent"                                                                                      L'Ange Boufaréu

Image de l’arrestation de Robespierre extraite “d’une dès chaînes” authentique d’époque…

Rappel : ce n’est pas parce que le quidam n’écrit point dans son blog qu’il est devenu sénile… cacochyme… ou grabataire… il repousse l’échéance de l’abysse… certes il est encore plus lent… Confession : le quidam lisait les éscrits de Robespierre… notez qu’il a lu entre autres : “Oui-oui à la campagne” “le Capital” un philosophe à lunettes rectangulaires… donc, il sait :

citation :

Séance de la Convention : le 5 février 1794 (17 pluviôse an II de la république française.)
“La démocratie périt par deux excès :
– l’aristocratie de ceux qui gouvernent,
– ou le mépris du peuple pour les autorités qu’il a lui-même établies.
… mépris qui fait que chaque coterie, que chaque individu attire à soi la puissance publique, et ramène le peuple, par l’excès du désordre, à l’anéantissement…
ou… au pouvoir d’un seul.”
Depuis 1794… rien n’a changé… sauf que : 
Robespierre est guillotiné 4 mois plus tard… le 28 juillet 1794 ou 10 thermidor an II. 

… instant de recueil pour un sanguinaire…

… “oh bonne mère… vivement la retraite!”

                                                      Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
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                                                                                     L’Ange Boufaréu

 

 

Prognostications de l’an de Grâce 2023…

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Buenos días compañeros

Comme vous le savez, nous sommes à la fin de l’année, où le bon gentilé d’ici, de là, de la noosphère et du cosmos compte ce qui lui reste, en… pecunia… $… dinar… £… franc… ¥… pesos… et queue téra…
Après comptage et recomptage, il attend les prognostications de l’an à venir, avec comme règle absolu… rester dans la ligne… dite « du politiquement correct » dans sa plus pure notion de stricte obédience élargie au sens ubiquitaire total… transcendant donc.
Conseil : éviter les gognandises trop gognantes… restez plat comme une limande… Demeurez au sens propre et figuré dans « le politiquement correct ». Agir tels les trois petits singes de la sagesse chinoise. Chacun se couvre une partie du visage avec les mains : le premier couvre les yeux, le second la bouche, le troisième les oreilles… qui dans la gestuelle physiologique signifie :
« Ne pas voir, ne pas entendre, ne pas dire »… car celui qui respecte ce précepte ne verra que Le Bien venir.
(Note NDLR : il est nécessaire de s’arrêter pour observer le rôle de la conjonction de coordination « car » selon Bescherelle, car « car » légitime plus du quart de la preuve totale que la thèse qui précède est fondée.)
L’original chinois dit :  不见… 不闻… 不言…  bù jiàn, bù wén, bù yán
(Note NDLR : car le Chinois fait fi… du car… comme de la moitié… ou du tiers… des conjonctions de coordination… mais c’est un autre débat.)
Hic ! Hic ! praedico : du verbe latin praedicere… je prédis tu prédis… telle la voix quinquennale  du Faubourg Saint Honoré.
Conseil général pour l’année : en public, honorez humblement cette voix pour les 364 jours qui suivent le 1er de l’An sauf pour l’année 24… où vous devrez honorer un jour de plus… puisque l’an est  bissextile.

Ver primum tempus
Jadis, cette saison, la première de l’année se nommait « primevere », elle devint printemps par la grâce de Saint Bucolique un soir de vastitude… long-anté-macronien.
Conseil aux gentilés mutants : vérifier que le terme « primevère » n’est pas dans les prochaines réformes « fondamentales » du « résident » du Faubourg Saint Honoré…
Il en faut moins que ça pour subir un redressement fiscal… gardez printemps c’est plus sûr.
Néanmoins, la prognostication pour l’an 23 révèle que le soleil poindra tous les jours un peu plus tôt, puis un jour, las de monter en parfait libertaire… il redescendra. Ne jamais dire « lui au moins, il ne fait pas grève ! » Cette anodine boutade de Dijon peut vous attirer des éclats de voix du style « encore un mec d’extrême droite ».
Conseil bienveillant : restez extrême selon la doxa ambiante ou bien fermez-la… ce qui revient au même, les deux actes étant mimétiques.
Créez votre propre écholalie pour être dans le vent/vert… qui comme chacun sait est la répétition quasi automatique ou psittacisme de préceptes codés en usage dans le mondiscule… de goooooooooooche.
Mais surtout… promenez-vous en ayant soin de montrer aux justes que l’âme est une idée has been… que votre santé réside dans votre compassion sans limite des tribus des fonds africains très lointains… que vous souffrez de voir souffrir les valeurs majeures du tiers du quart et autres mondes… que vous soutenez la sainteté laïque qui devrait progresser… que vous avez une immense attention pour l’émancipation des femmes des pays du Moyen-Orient et que vous ne voyez aucune contradiction avec celles qui s’exposent couvertes du côté des rives du flux Germanopratin… ah la mode ! Rive Gauche.
Bref : affichez être con et sensuel en public… consensuel en alcôve suivant les jours… y compris tous les jours… avec ou sans croissants.
Si vous avez réussi à franchir ce trimestre où l’irrationnel le dispute à la bêtise, vous avez fait un grand pas dans la prudentitude… vous êtes sans doute protégé par la croix rouge.

Secundo tempore : aestatis    
Énoncé cruciverbiste : terreur des ministres de la santé des gouvernements passés et futurs.
Réponse : été.
C’est encore pire en latin : car l’aestas… est lesté… de scrogneugneu… en tout genre.
Notre conseil : le ministre devrait obtenir de la part de son « boss », une ordonnance d’arrêt de travail autour de la mi-mai… pour raison de santé, jusqu’à la fin des vendanges pour éviter l’outil du sieur Guillotin. « En même-temps » la cellule de sécurité du « résident » un modèle de transparence pourra gérer entre autres, les stratifications des occis… en cent vingt-huit colonnes ex-qualités.
Type de codification des disparus : alléluia ! Priez pour eux… non, mais ça va pas !

  • Codification : perdre sa vie sans raison, syndrome strabo-bénin, syndrome anti-bobo, ire de manque de savoir-vivre, syndrome chinois, trop de vert, manque de vert, perclus de parole, sans parole, fièvre nupèstine, bronchite élèfiènne, éructances-mélanchoises, jactances sandrinensis-rousseauhu… bref : 128 occurrences… qui rassurent… car certaines lignes élevées aux cieux ne montrent que 0,0001% de cas… certes avec 128 on fait un certain total… mais enfin regardons ce qui est regardable ! Frères humains qui après nous vivez… soyez humains… dans vos valeurs… nous disons non à l’ostracisme… aux solécismes manipulatoires… aux essentialisations… aux tripotages… aux magouilles… aux sinistres et ministres… soyons purs… soyons sains… autant que saints… hosanna…

Gentilés… take care… en mai, il ne vous restera plus que quatre ans pour faire le « beau »… le « vertueux »… le « sublime »… la voix de son maître… pour… de très loin par mimétisme égaler… de très loin, je répète… l’image… l’icône… l’eau-forte… le chromo du « résident »… le temps passe si vite !

Tertio tempore : autumnus
L’automne sera, je le prédis, la troisième saison… grand moment pour la Dive Bouteille que le Grand Rabelais divinisait jadis ainsi :
« Ô Bouteille, plaine toute de miƒtères, d’une aureille Iot’eƒcoute… » (NDRL : Ô bouteille, pleine de tout mystère, d’une oreille je t’éscoute…)
D’ailleurs, ce cher Rabelais m’a ôté de la plume cette vérité vrai des espaces autumnus : car c’est le temps de la rentrée…
Après l’été et les vacances, chacun reprend sa clé anglaise, son verbiage, son siège au cénacle… les cagots, caffars et porteurs de rogatons reviennent de leurs tesnières, (tanières) après affutations des jactances et autres triquedondaines, en propos vernaculaires ciselés au soleil des Indes Galantes… là ils vont nous les servir.
Conseil : gardez-vous des arestes quand mangez poisson…
Conseil : si vous avez des insomnies… lisez donc le journal officiel, l’effet est radical… vous sombrez sans poutringues (pilules pour le sommeil)
Conseil : fuyez les assis du cénacle qui dit-on provoquent « effroy et trépidation » sauf si voulez métamorphose en leurs états éponymes… vous préparant pour 27…
Révélation : le « résident » sur son mont-ticule de la rue du Faubourg Saint Honoré… saluer… merci… répéta nunc et nunc… autrement dit à présent :
« Je ne me représenterai pas en 27 » ce que certains traduiront par : « quelle humilité ! » quand d’autres: « putain encore 4 ans ! » alors ceux-là tel l’insecte et ses métamorphoses successives établirent un chemin de calvaire fractionné dans l’espace et le temps toutes antennes dehors pour sentir le vent de la chanson…

V’là l’bon vent, v’là l’joli vent
V’là l’bon vent, ma mie m’appelle
V’là l’bon vent, v’là l’joli vent
V’là l’bon vent, ma mie m’attend…

… en l’attente de l’éclosion métamorphique…

Quarto tempore hiemis
En hyver, selon mon entendement, ne seront saiges (sages) que ceulx qui firent comme l’an passé… en copie collé du « résident » investir le col roulé… mais take care… prenez informations avant de porter le licou ou licol… vous ne pouvez le montrer qu’après avoir vu la photo de l’ado dans la feuille de chou… arborer le col avant lui… et vous êtes mort… jusqu’à la fin des temps électifs… ainsi le fit cet icelui :

Le cagot là-dessus saute sur le col roulé.
La sentence tombe ; adieu élu, sénat, ministre, préfet des yeux couvés…
Et voilà sa fortune ainsi répandue…
Sous l’œil du résident, le récit farce en fut rendu…

(NDRL : adaptation très très libre de la fable : Perette et le Pot au Lait)
Après nous avoir roulés dans la farine, voilà le col qu’il faut rouler, après quelques vols à la roulotte… qui débaroulent.
Que nenni Gentilés… le « résident » réside… donc régit… tel le Rex… Ô que non, il ne git point encore… il cause… il agite ses petits poings musclés.
Gentilés…
Si vous voulez accéder… à un strapontin…
« Copiez, copiez… il en restera toujours quelques choses ! »
Non monsieur… cette citation est fausse… vous faites l’important…
C’est Voltaire qui a dit « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose ! » et c’était en 1736… ah ça mais !
Eh crotte !… pour qui se prend-il cet icelui ? C’est Francis Bacon en 1665 qui a dit :
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. »
Errat pauperem, c’est Pierre-Auguste Caron de Beaumarchais qui créa cette stylistique : « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. »
Ainsi, de considérations inactuelles en Considérations à contre-temps… selon le principe sus nommé quant à la non éligibilité du « résident »… en l’attente donc de 27…
« Copiez-copiez… etc »
« Mentez-mentez… etc »
« Calomniez-calomniez… etc »
… vous êtes dans le vent… dans l’Encyclopédia Britannica… il en restera toujours quelque chose…

 Ita prognostica mea finio.

                                                   Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez l’opus “Le Fils du Vent”
                                                                                     L’Ange Boufaréu