… interpréter les prédicats… du « résident »

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« Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »

Avons-nous bien lu ?
Ouvrons, le manuel de physiologie : pour produire la phrase-titre, l’homme qui cause, a utilisé les poumons, le larynx, la langue, les lèvres et le voile du palais…
… le palais de l’Élysée ?
… c’est ça, l’homme du palais se déplace, il transporte « son organe de la parole »
… c’est là qu’il dévoile… son larynx…
… oh ! il m’escagasse ce type…
… qui rime avec syrinx, la flûte de Pan…
… c’est ça, la flûte de Pan du « flûtiste » il a é-mifa, sol, la, si, do… cette phrase, il y a six ans… à cette époque, le monde était encore vierge de sa jactance…
Stupéfait d’ouïr : « Il n’y a pas de culture française. »… le peuple attendit la suite…
Depuis, hélas ! hélas ! hélas !… écho des mannes de nos ancêtres.

Définition : « Dictionnaire de Philosophie » de Jacqueline Russ. (Bordas 1991)
Sens courant : formation spirituelle, ayant élevé le goût, l’intelligence et la personnalité à la dimension de l’universel. L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement…

Analysons le prédicat du quidam qui prononça cette phrase, lequel ci-devant, adoubé,  généra plus tard, d’autres approches « diachroniques », mais il n’a pas varié quant au fond « synchronique »
Il est vrai, que tout un chacun énonce un jour le contraire du jour caduc.
Mais le « résident » n’est pas un simple péquin, il se veut salvateur… si… si… sauver cette France où « Il n’y a pas de culture française… »
Lors de l’époque diégétique où il n’était qu’impétrant-futur-résident, il commit ce projet salvateur dans un opus célèbre paru en 2016 : « Révolution »(sic) où il divulguait les prolégomènes de ses actes futurs.
À présent, il occupe le strapontin du mont-ticule faubourg saint honoré, il fut élu par un peuple…
Sans doute, ce peuple a lu l’opus, qui aurait pu être écrit en volapük.  Or, le peuple nourri de culture française… lit le français… sur le sol français… en France, depuis l’Édit de Villers-Cotterêts… où François le Premier instaura le « français »

Avec vous mes frères, ouvrons l’opus… puisque nous faisons partie de ce… bis…
Chapitre N°1 « Ce que je suis » pages 11 à 32…
Nous lûmes haletant ce chapitre générique (21 pages, soit 7,924528301% du tout qui en compte 265) quant à la construction physico-chimique autant que psycho-éduco-sociologique, autrement dit l’état ontologique de l’impétrant, avec attention.

À l’énoncé de ses maîtres et relations, nous supposâmes que son acquis était le fruit de la Culture  Française… jugez-zan !

« … apprendre la grammaire, l’histoire, la géographie… »… lire Molière, Racine, George Duhamel, Mauriac, Giono… écouter Léo Ferré… découvrir le chat de Colette… Gide et Cocteau, mes compagnons… écouter Chopin en découvrant Giraudoux… étudier le piano et le théâtre… emprunter les chemins de Flaubert, Hugo… Balzac… « J’avais une obsession, une idée fixe : vivre la vie que j’avais choisie… » alors… la chance fut la rencontre avec le philosophe Paul Ricoeur.

Viatique lapidaire de ce compagnonnage(sic) :
«  Ne jamais céder à la facilité des émotions ou de ce qui se dit. Ne jamais s’enfermer dans une théorie qui ne se confronte pas avec les choses de la vie. »

… puis ce fut la banque Rothschild…

Pensez-vous ! peuple que cette banque eût accueilli… un neuneu… un inculte… un néant culturel… « a man without culture ? »… ah comme c’est mieux en anglais ! Yeh !
Vous avez raison, cette banque n’intègre que des gens cultivés qui ont la capacité de comprendre la structure complexe des situations, ceux qui ne « cèdent pas aux émotions »… « ceux qui ne s’enferment pas dans une théorie… »

Alors peuple, vous l’avez élu grâce à cet impensé : « il était beau… il sentait bon le sable chaud… »
Comme l’énonce le philosophe germain du dictionnaire de Jacqueline Russ :
« Produire dans un être raisonnable cette aptitude générale aux fins qui lui plaisent en sa liberté : c’est la culture »
… l’impétrant affirme sa voie :
« J’avais une obsession, une idée fixe : vivre la vie que j’avais choisie… »…
« Ne jamais s’enfermer dans une théorie qui ne se confronte pas avec les choses de la vie. »
… c’est ainsi… selon la définition du dictionnaire, après avoir élevé sa : formation spirituelle, ayant élevé le goût, l’intelligence et la personnalité à la dimension de l’universel. L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement…

… et son jugement alors fut :

« Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »

Il n’y avait aucune justification à émettre un tel propos seulement, prouver que : L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement… peu importe ce qu’il dit !
… dans le Midi provençal, on dirait : « la culture me n’en caga ! » Inutile de traduire !
Or le « résident » n’est pas natif provençal…
C’est grâce à sa culture, qu’il devint « résident »… dixit l’opus…
Mais… le parvenu nie la culture, il se libère gratos, il s’éclate comme disent les mômes…
Car… « L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement. »
C’est ça, après avoir tiré la substantifique moelle de la culture française… il décide… qu’il n’y a pas de culture française…

Exit Clovis 1er, couronné roi des Francs en 481, premier monarque en France qui depuis agrège et construit sa culture vernaculaire autour de cette base… Clo-Clo… serait un roi entre autres… d’autres lois… d’autres peuples… d’autres religions… un bazar melting-pot indistinct divers… depuis 15 siècles sans avoir créé une culture identifiable… avec migrations sans frontières… puisque :  

« Elle est diverse »

« Mais bon sang, mais c’est bien sûr » aurait dit Raymond Souplex… vous en doutiez?Cette qualification affranchit le « résident », dès lors, il ne se prive pas de « diversifier » ses prédicats… dans ses causeries ampoulées… devant ses cours ravies…
Le philosophe de Königsberg, le petit père Kant, l’a écrit :
L’homme doit être cultivé. La culture comprend l’instruction et les divers enseignements. Elle procure l’habileté.
Le « résident » a acquis « l’instruction et les divers enseignements » qui depuis Clovis 1er fleurissent dans l’hexagone sous le terme générique de Culture Française…
Mais lui, « résident » fait fi des Nobel, les écrivains Français dans ce petit bout d’hexagone, où la Culture française est la plus titrée… ces textes l’ont formé…
Il poursuit pourtant, la tradition depuis 1959, quant à nommer une Ministre de la Culture… à quoi sert-il ce ministère, s’« Il n’y a pas de culture française ? »
Laquelle Ministre de la Culture répondit lors du récent Molière dans une ubuesque mise en scène que « … ce ministère de la culture… défend haut et fort l’exception culturelle française ! »
Mais, s
« Il n’y a pas de culture française »… pourquoi y aurait-il une « exception culturelle française ? »
Incohérent… ci-devant « résident »
Revenons à Kant… une autre Kultur assumée :
« L’homme doit être cultivé. La culture comprend l’instruction et les divers enseignements. Elle procure l’habileté. »

„Danke, Herr Doktor Philosoph, Sie haben alles verstanden.“

Voilà la raison, la culture « Elle procure l’habileté ! » de prétendre en tant que « résident »  qu’il n’y a pas de culture française…
Ce n’est pas la seule cuistrerie… mais qu’y faire quand les gazettes autorisées se taisent…
Les autres chapitres de l’opus 2016 semblaient…
Il faudra patienter… le futur « résident »…

En l’attente, on aurait envie de parodier la citation du « résident » je n’y puis résister…

« Il n’y a pas de dessein français. Il y a un gribouille hexagonal. Il effeuille ses divers habiles prédicats. »     

                                                Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez l’opus « Le Fils du Vent »
                                                                                        L’Ange Boufaréu

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