Fifrelin… ou la leçon d’entomologie comparée…

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« Archéologie des révolutions… ou « comment des fifrelins profitent du « juste à temps » des utopies. »
Je vais vous dire mes chers Gentilés… il faut toujours expliquer l’inexplicable… donc aujourd’hui je vais traiter mon choix de « fifrelin » dans le titre ci-dessus perché…

Le fifrelin n’est pas un insecte…
Il porte un nom masculin…
Le « Littré des quais »  donne au premier degré : objet dénué de grande valeur qui ne vaut pas grand-chose. On l’utilise plus particulièrement pour parler de petite monnaie, de pièces rouges de mauvais métal ou n’ayant pas un grand pouvoir marchand.
On peut analyser son errance sémiologique… à partir de fifre… dans la théorie sémiotique… qui n’a rien à voir avec l’amniotique dont le liquide est protégé par m’amnios… oh bonne mère que c’est complexe un fifrelin…

En Provençal un fifre c’est bien sûr une sorte de flute, mais on préfère dire « galoubet »… un grand fifre c’est un grand niais… un fifrelin c’est un pauvre type qui ne vaut même pas une note de musique…
Pour les Lyonnais, dans « Le Littré de la Grand Côte » de Nizier de Puitspelu qui est l’illustre dictionnaire du « parlé lyonnais » que le monde nous envie…

A « f » nous avons « fifre » raconté de la manière qui suit… le plus souvent c’est le  FIFRE DE MORNANT – surnom des habitants de Mornant parce que racontait le père de l’auteur. Le curé mécontent de ce que les hommes sortaient toujours lorsqu’il allait prêcher, tira un jour un fifre de sa poche et se mit à jouer en chaire. Sur quoi les hommes de rentrer en hâte, croyant que le curé était devenu fou. Le curé fit alors fermer les portes et commença son prêche ainsi :
« A Mornant Grand Diu ! I modont à voutra parola et y rintront ou brut d’in fifro ! »…  à Mornant, Grand Dieu ils sortent à votre parole et rentrent au son d’un fifre… »

En Provence on vous dira si vous avez le style un peu benêt :
« Sias ben pouli fifre vé ! »… Ben vous… vous êtes de jolis couillons !

Tout ça pour dire que de fifre on passe vite à fifrelin… sans même s’en rendre compte.

Mais le pire c’est au moment où on prend conscience… que le fifrelin benêt joue du fifre… mais pas seulement, à Lyon on dit « qu’il cause » en Provence « es un barjacaire » un bavardeur…
Le fifrelin, lorsqu’il y a des « cagades » il disparaît dans sa niche et dès que le soleil brille « lou vaqui qué vin faïre lou béu » le voilà qui revient faire le beau…

Chez nous en Provence le fifrelin on l’appelle « un tòti ! » avé l’accent tonique sur le « ò » vous appuyez bien fort sur ce « ò » le « tòti » est un butor un imbécile ou mieux un fada…

Seul il est inoffensif… mais c’est en groupe qu’il délire… il se donne des appellations incontrôlées du style : frondeurs… insoumis… révoltés… guérillero… terrible… parfois il se drape de costumes latino-castro-gaucho-front-gauche-caudillo-chavézien…
Depuis 1789… il trône en haut à gauche des hémicycles… où il éructe… en agitant ses plumes… ses armes… blanches… ne pas confondre avec blême réservé aux petits matins… ni immaculée… et encore moins vierges…

J’aurais jamais cru qu’un fifrelin « sa soye » si compliqué… me dit le petit Auguste
Attends ! « vas veiré! » tu vas voir.

Le fifrelin n’a qu’un objectif…
Un seul et unique…
Que le monde s’effondre… alors il sera là… c’est ce qu’en bon gaulois on nomme l’opportunisme…
Le fifrelin a été très actif pendant toutes les révolutions… il attend son heure… et il récolte les miettes… ça c’est le juste à temps…
Parce qu’il n’a pas pu phagocyter les Gilets Jaunes… on le voit marri… bougonner… ronchonner… il rumine…

Ah j’oubliais…

Le fifrelin… a deux jambes, deux bras, un buste, un corps, une tête… il éructe…
A ne pas confondre avec le bousier qui est un coléoptère coprophage de la famille des Scarabaeidae… qui possède six pattes une tête…

Ils ont en commun une passion : ils marchent à reculons en poussant leur bouse…

Adieu mes Gentilés… passez à l’ombre.

L’Ange Boufaréu.

 

 

 

 

Archéologie des révolutions… ou « Comment des fifrelins profitent du « juste à temps » des utopies. »

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Vous l’avez à toutes les tailles…

Chapitre 2 : Révolution des Gilets Jaunes

Il y a peu, nous avons conceptualisé le schéma méthodologique d’une révolution en prenant exemple sur la révolution de 1789… c’est le théorème en quelque sorte… Ce postulat s’appliquerait-il à la Révolte des « Gilets Jaunes »… hier… à la fin 2019…

… nous sommes toujours dans un espace Hexagonal… le peuple ne possède pas plus qu’avant… il s’est replié au-delà des périphériques…
… la noblesse s’est recyclée dans l’énarchie… on ne sait plus qui est qui ?
… le peuple… ne veut toujours pas subir : il veut du travail du pain, de la sécurité pour sa famille… basiquement lancinant depuis 230 ans date de la première révolte…
… que dit le proconsul ? « Exposez vos revendications, on vous écoutera »
… comme jadis il y a 230 ans : résultats 6 337 cahiers ont été ouverts et remplis dans les mairies, il y aurait 16 000 dossiers rassemblés à la Bibliothèque nationale… 400 000 pages… qui seraient au moment où j’écris… stockées… si… si… aux archives départementales… j’ai fait une demande pour lire le cahier de ma commune…
« Réponse : impossible, il y a des pages trop personnelles… (sic) »
… le pouvoir n’a retenu que 185 pages… une synthèse… me dit-on.
… qui a censuré les 399 815 pages supprimées ? Alors que la promesse… jurée-crachée : chaque citoyen pouvait en prendre connaissance…

… alors… le grand élu… le monarque banquier… ce jeune homme excellent qui proclama 69 jours après son scrutin vainqueur « C’est moi le chef des armées » en virant le boss de l’état-major…
… le jeune homme proposa un exercice prométhéen… il allait lui-même répondre aux questions du peuple… il était chef…  il convoqua les préfets sous-préfets notables directeurs des bureaux élus maires commissaires de polices députés sénateurs cadres rentiers politiques réservistes… tous présents : un gratin flatté aux ordres…
… on sélectionna quelques manifestants triés… tamisés… écrémés… calibrés… criblés… que l’on regroupa-dispersa par thématiques : diviser pour régner… le gilet-jaune récalcitrant au nord… le jeunes artisan au sud… le chômeur de la mondialisation au centre près du chef… les autres à l’est ouest… sud-ouest… est-nord… nord-sud… tous encadrés… sur les méridiens autant qu’aux longitudes…
… le jeune homme qui sait tout avait devant lui des piles de fiches… toutes les questions étaient là…  y compris les réponses sur papier cartonné demi-A4… texte froid : police Arial taille 16 double interligne… parfois quelques lignes sont soulignées… d’un trait… une couleur… c’est sublimement propre… un travail de dentelle communicante… mieux qu’un jeu TV…
… il y avait un chef d’orchestre… un élu de la nation portant képi… il distribuait les rôles…
… comme Anne nous ne vîmes rien venir… sauf la route qui s’escagassait depuis 230 ans… à poudroir… (ne pas confondre avec boudoir) mais qu’elle poudroyât le jeune homme n’en avait cure…
… le jeune homme tel l’homme-orchestre… fit le tour de la France… les salles étaient pleines de notables… décorables… papelards… cauteleux… déguisés… pharisiens… le consul causait chaque fois des heures sans fatigue… un miracle…
… pendant que les jacteurs traditionnels et furieusement révolutionnaires, ceux qui sont dans les niches depuis 230 ans… braillent…  jugent… éructent… veulent du sang… guillotinent… car ces Gilets Jaunes… gens de mauvaises vies refusent de se laisser phagocyter et asservir par eux…
… les éructeurs voulaient les protéger… tel des parrains…
… le slogan du 22 juillet 1309… n’est plus proféré à haute voix… car Dieu est mort…
« Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! » cet ordre lancé par Arnaud Amalric le 22 juillet 1309 contre les cathares sera repris par nombre d’opportunistes… postés à la périphérie… prétextant l’insoumission… comme ces autres « Passés du col Mao au rotary-club » de Guy Hocquenghem…
… alors les éructeurs ronchonnent…  à voix basse… ceux-là même qui ont bétonné le régalien… ceux postés dans les niches… on les appelle toujours les « arapèdes »…

C’est ainsi que la Révolution de 2019… celle des Gilets Jaunes vient d’illustrer une  nouvelle géographie du théorème… le même qu’en 1789… mais ajouté de bémol… et de dièse… le bémol diminue d’un demi-ton la valeur d’une note… le dièse augmente la valeur d’un autre demi-ton… un rappel…
Ils n’ont pas réussi à couper la tête au jeune homme… il n’y a plus de Roy à guillotiner… c’est ce bémol qui l’a sauvé… d’ailleurs ce n’était pas leur intention…
Comme des moineaux… les gilets jaunes se sont atomisés dans la nature… on ne compte aucun guillotiné… c’est un dièse… restent hélas des vestiges collatéraux…
Le jeune homme a concédé quelques paquets de milliards… qui seront vites reconquis par les taxations… il a gagné cette révolution selon la synergie dite à la Pyrrhus… qui est une victoire tactique… elle est obtenue lorsque les pertes deviennent si énormes qu’elles compromettent les chances de victoire… les Gilets Jaunes n’avaient plus les moyens… ils se replièrent…
… la presse salua la victoire du jeune homme…
… il suffisait de voir… dans les réunions organisées par le jeune homme… combien était important le nombre d’autorités de 70… 14… 45… 68…. décorations en sautoir… cliquetantes…  garde à vous sous les drapeaux de la république ripolinés… ils chantaient…
« Ah je l’aurai, je l’aurai, je l’aurai ma nouvelle médaille… à je l’aurai je l’aurai je l’aurai le Père Macron me l’accrochera ! » »

Conclusion en forme d’antimorale… le peuple est toujours pauvre… les nouveaux-philosophes vieillissent… les éructeurs sont toujours dans les hémicycles… c’est nouveau : le ministre de l’intérieur regarde ailleurs lorsque les cagoulés en noir cassent les vitrines… le prince a compris les leçons… il distribue… rien dans la structure n’a changé… c’est ainsi depuis 230 ans…

Voilà Gentilés comment on escagasse une révolution… ça laisse des traces… pour la future.
Chez nous en Provence on appelle ça un « nari »… ou plus expressif « une cagade » 

L’Ange Boufaréu.

 

Le 23 juillet, j’étais devant mon écran pour entendre madame Marlène Schiappa

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(Capture d’écran)

J’attendais son analyse sur les incivilités…
… en réalité, je m’intéresse plus à l’icône, son image, l’oralité, l’attitude, la place du geste dans l’espace, le regard… qu’à ces mots… ce n’est pas son statut de femme politique que je retiens… j’analyse toute personne occupant rang… invitée par les média…

Madame Schiappa est à présent : Ministre déléguée auprès du Ministre de l’intérieur, chargée de la citoyenneté…
Elle n’était que : Secrétaire d’Etat à l’égalité hommes-femmes dans le gouvernement précédent…
C’est donc une promotion… félicitations Madame…

Elle a été nommée le 6 juillet, il y a donc 17 jours, c’est récent, mais j’ai conservé en mémoire son style ancien iconique… comparativement j’entends le nouveau… je discerne immédiatement l’écart… c’est ma pratique de l’analyse musicale.
Prenons le temps de l’expliquer : je connais par cœur la sonate de César Franck : un violon et un piano, trois mouvements. J’ai entendu l’interprétation de cette sonate par une cinquantaine de musiciens différents, tous systématiquement considèrent le piano comme un accompagnateur, autrement dit il s’efface devant le violon. Or seul le couple David Oïstrakh au violon et Sviatoslav Richter au piano offrent un duo diamétralement opposé. Lorsque le piano joue seul une introduction ou une conclusion, seulement dix, quinze mesures… il reste au niveau de la qualité expressive du violon solo… c’est très court… mais lumineux… à force d’écoutes je décèle la moindre nuance différente.

…  c’est ainsi que j’ai analysé l’oralité de madame Marlène Schiappa…

Elle était « secrétaire d’Etat » un niveau hiérarchique qui doit être « voyant » pour la suite de son cursus « Oui mais ! » aurait dit Giscard d’Estaing, il ne faut pas marcher sur les corps aux pieds des autres ministres… c’est néfaste pour le futur…

Pendant trois ans la « secrétaire d’état » causa… en adoptant une oralité particulière, elle émettait ses discours selon une gymnique du bout des labiales… comme si elle se tenait à la périphérie du message… prête à rectifier « je l’ai dit… oui mais dans la foulée… je peux le redire en mieux… ce n’est pas tout à fait moi… » comme le piano elle se faisait accompagnatrice…

Tout ça du bout des lèvres, une sorte de « souffle alvéolaire affriquée sourd bien connu des linguistes : l’air s’échappe se frottant entre le dos de la langue et les incisives supérieures. »

Car l’oralité correspond au niveau hiérarchique de la secrétaire… je traduis sa pensée :  «  Je dis, mais je prononce une affirmation qui est tempérée par mon oralité labialisée, laquelle est en phase avec ma position dans la hiérarchie… je cause mais j’affirme seulement du bout des lèvres…  je m’améliore, croyez-moi. »   

Eh bien gentilés…

A présent, depuis le 6 juillet, la Ministre ne cause plus en « alvéolaire affriquée-sourde »… madame la ministre oralise en un « souffle palatal vibrant »… émis par la voûte palatale autrement dit le palais dur qui renvoie le son haut et fort… là on rejoint la fameuse leçon du Bourgeois Gentilhomme de Molière sous l’analyse du professeur d’orthographe…

« La voix, A… se forme en ouvrant fort la bouche… A… Aaaaahhhhhh!

Vous l’aurez compris, à présent la ministre est soliste… la bouche grande ouverte correspond au niveau hiérarchie acquis… d’incertain on devient affirmé… lorsqu’on passe d’un niveau secrétaire à celui de ministre en l’espace de quelques nanosecondes s’opère une mue… une métamorphose… la voix « alvéolaire affriquée sourde » mute en voix certifiée « palatale sonore avec vibration des cordes vocales renvoyées par le palais dur » la voix des chefs… pardon des cheffes… plus… d’hésitations…

Il y a bien d’autres mystères dans ces mutations…
Et quand on vous dit que la France ne se métamorphose pas…
Gens de mauvaise foi… va !

L’Ange Boufaréu.

 

« Archéologie des révolutions »… ou « comment des fifrelins profitent du ‘juste à temps’ des utopies »

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 Chapitre 1 : analyse du schéma méthodologique d’une révolution

Une révolution, telle une partition de musique se rythme à plusieurs temps… j’en ai compté treize… ça tombe bien car treize reste raide comme les cadavres… peut-être suis-je trop analytique… en réalité le nombre est cabalistique… mais ne le dites pas…

Voyons un pays… au hasard…  Hexagonal… le peuple… ne possède rien… ni bien matériel, ni bien culturel, ni héraldique avec blason orné d’une cuillère en or dans la bouche… ou dans le fion…
… ce peuple… ne veut plus subir : il veut du travail du pain de la sécurité pour sa famille… basique!
… exposez vos revendications dit le blasonné… on vous écoutera… crétin!
… le peuple, langue pendante s’applique à remplir les cahiers… au crayon… ou à la plume sergent-major encre violette… ça tache!
… plus tard, hélas, comme sœur Anne, il ne voit que la route qui poudroit… alors, le peuple se révolte…
… il casse tout… l’ordre antique… les privilèges… les titres… les pouvoirs… ceux qui lui refusent ce minimum…
… le peuple pense qu’à présent, il y a deux camps… les coupables et lui…
… or, le peuple, ne sait pas… que dans des niches… au chaud… quelques quarterons des troisièmes larrons attendent pour tirer les marrons du chaos… qu’ils provoquent au besoin…
… tout est fracassé… à présent… il n’y a plus d’ordre, de privilège, de titre… enfin, on a imposé des lois conduites par des hommes de loi qui se disent représentants des lois, issus du peuple et des lois… ceux-là mêmes sortis des niches… chez nous on les appelle des « arapèdes »… ces mollusques coniques qui s’accrochent aux rochers du bord de mer…
… ces jacteurs sont furieusement révolutionnaires… ils braillent… ils causent… ils jugent… ils éructent… ils veulent du sang… ils guillotinent… « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! » cet ordre lancé par Arnaud Amalric le 22 juillet 1309 contre les cathares sera repris par nombre d’opportunistes… postés à la périphérie… prétextant l’insoumission… comme ces autres « Passés du col Mao au rotary-club » de Guy Hocquenghem…
… sauf qu’à présent… ils ont phagocyté le régalien… ils claironnent en penseurs-guides… ils cueillent en prédateurs… ils ne s’en privent pas…

… alors le peuple se réveille avec la gueule de bois…
… il est épuisé, il peut bien relire les Cahiers de doléances du 14 janvier 1789… pour la prochaine révolution… « Ah! ça ira ! ça ira ! ça ira… les aristocrates à la lanterne… ah! ça ira ! ça ira ! ça ira ! les aristocrates ont les pendra ! »
… eh couillon… y’a plus d’aristocrates…
… restent les penseurs-guides, ces volatiles-métamorphiques…

Voilà, gentilés, j’ai dégagé le gabarit de la révolution que le « monde nous envie »… le concept opérationnel si vous voulez… je me propose de le comparer aux autres pulsions révolutionnaires de l’histoire… que je traiterai… dans le prochain chapitre.

« Anen vesita aquéun mite !»*

L’Ange Boufaréu

 

*(« Nous allons visiter ce mythe » : L’Ange Boufaréu pense souvent en Provençal… un vrai contadin… un atavisme vernaculaire qui gamberge.

Réponse de monsieur Macron au journaliste hier sur TF1 le 21 juillet…

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(Capture d’écran)

Après la glorification de l’accord de Bruxelles…
Question sur la sécurité des Français concernant les meurtres d’Axelle Philippe Mélanie Thomas…
« on ne vous a pas beaucoup entendu » dit le journaliste… quel culot!
Mais quelle réponse… du sublime jus de basse prétention…

« Je n’accepterai pas dans notre pays que ces incivilités deviennent une habitude ».

Ca c’est dit… et voilà comment le meurtre devient une incivilité… plus banal que ça… c’est monstrueux… cet homme ne comprend rien ou ne veut rien comprendre…
Selon le Littré « L’incivilité est une absence de politesse »
Cet homme est stupide et dépourvu de sens des relations humaines… pire il confond l’incivilité par manque de politesse avec la perte d’une vie par meurtre… surtout si ça devient une habitude!
Que va-t-il arriver au meurtrier?
« Il n’acceptera pas! » on vous l’a dit!

L’Ange Boufaréu.