… tintinnabulements… et autres borborygmes…

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Nous entendons à présent les tintinnabulements de voix qui fustigent l’enseigne US de ventes des livres sur le Net, au titre que ce monstre détruit nos bons libraires, la bonne blague… de cuistres.

Ces mêmes doctes voix qui pérorent à la TV ne se sont point élevées lorsqu’il était temps, un jadis si proche, elles n’ont pas invité ces autoédités qui négocient coup par coup la promotion de leurs opus avec les libraires justement parce qu’ils sont indépendants… elles préfèrent le carré magique microcosmique des bords de Seine. Elles n’ont pas traité le sujet de cette logique de masse et cette concurrence « sauvage ». Elles ont même assuré la promotion de la littérature US et ses circuits dans de vastes rodéos à l’Ouest qui par antiphrases reléguaient les auteurs autoédités dans la catégorie minuscule du déclassement. Nous avons connu dans les salons, des auteurs qui recherchaient l’immortalité dans ce schéma promotionnel avec le marchepied US. La course au volume d’affaires avec l’A et ma zone était le summum du sublime : le business avant la syntaxe… je ne fus pas du nombre. Je n’achetais pas non plus dans ce bazar, j’avais subi un revers par KO de non-remboursement après trois lettres recommandées, d’un bouquin. C’est la faute à pas de chance, m’a-t-on dit… perte 35 euros. Mon éthique a compris que la malchance n’avait rien à voir… que la stratégie de l’US-moloch était payante par inertie… une fois… mais pas deux ! A présent, ces voix qui mettent en scène leurs tremolos se le permettent parce qu’elles ont le pouvoir de montrer ces larmes indécentes dans le grand diffuseur clignotant de leurs tartufferies… pleurez… pleurez… il en restera toujours quelque chose… le sanglot reste porteur… pour l’audience et l’image de marque.

Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes 

alain iametti…
… nom de plume : alain harmas… surnom L’Ange Boufaréu.

 

Koba ou la sombre rémanence Chapitre 3 : « Sé-Ki-Ka-Di-SSSSa ? »

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Résumé de l’épisode précédent : au théâtre ce soir à Larchy Le Mel Belchior… la troupe salue… quand un homme à moustache, se détache de la troupe et Urbi et Orbi s’écrie :

« Non… mesdames et messieurs… Koba n’est pas mort ! »

Grouillamini gandouglure on s’esbugne on s’désouaffe en buvette de pots… lyonnais haut’antiques… aussi tard qu’est palabrassimum à + soif…

… le jour d’après : horizons glauques, les Haut de Larchy… trois « hombres » causent…

On ne distingue rien dans « la paix nombre »
Un visage s’éclaire lorsque la lippe tire sur une tige de 12 de papier maïs… on distingue un né long… sous un front d’immanence… un œil noir te regarde…
L’àcôté proche tire sur sa barbe qui ne génère aucune flamme… de l’âme…
Le dernier enfin proche aussi, ajuste son col, car les Haut de Larchy sont aux équinoxes sibériens… lui est du Bas Larchy aux chauds climats utopiens… l’ajusteur du col est un peu anarchiste… il est aussi ferblantier…

– d’où il sort ce Koba ?
– tu étais avec moi à la Datcha…
– pas lui…
– de qui alors ?
– l’autre sur scène !
– ho Raphaello tu l’as maquillé… avec une moustache et des médailles…
– et alors…
– … tu dors encore… c’est bien toi qu’a posé la moustache et les médailles…
– non…
– je t’ai donné des sous pour acheter ces dessus !
–  opéra de quat’sous ouais… j’ai trouvé qu’une moustache d’Adolf pour ces sous… une petite merdre aurait dit Ubu… le mec est arrivé dans la coursive… avait déjà moustache et breloques… pendant que je maquille… un vrai plâtrage… j’lui cause… t’as eu la variole p’tit père…
« des peuples » qu’il me répond… ouais… la vérole aussi… j’ai souffert… moi ! puis, s’épanche avec Luksusowa-vodka-polska… j’t’ai jamais vu ici qui m’dit…
– il me ringarde glomavetrop !
– très très libre toi… j’suis Djougachvili et toi…
– oui c’est ton nom de scène… mais ton vrai nom…

– byt’ ostorozhen… toi… fais pas répéter p’tit père des peuples…
– dac ! c’est Byt’ostro ou Djougachvili ?
byt’ ostorozhen veut dire « fais gaffe » en russe, toi moujik… ton… nom ?
– fâche pas… pépé… mi ciamo Raphaello Sanzio
– t’es Italo… t’as connu Toliatti… c’est son blaze… que foutre toi ici…
– je cherche une seconde voie… que j’dis… la Renaissance c’est comme Capri…

 

 

Le trio reste coi… il y avait de quoi… devant ce récit caracacoi…
– faut voir Atharexa Fineligne… c’est elle qu’à fait les cassetinges
Et voilà le trio propulsé chez la donzelle… couturière de son état… l’icelle est sous influence de son coryza… elle tousse, elle mouche, elle souffle… le nez nasille… la voix godille… les yeux lacrimalisent…
– Ki Ka Di Sa… qu’elle dit… car Atharexa née castillane vici vidi vini vendre du chorizo hidalgo jadis en espadrilles… depuis chopa le coryza… holà !

Atharexa gonfle, ballonne, virevolte… de quoi ? Le Djouga-machin c’est qui ?
– c’est bien toi qui l’as choisi ?
– me souviens pas…
– comment t’as fait…
– un type arrive… y’m cause tout ce que t’as écrit Sosthène… j’ai dit « Au suivant ! »
– il a récité ?
– il savait tout… comme une encycliglospidy… voilà, le coryza qui recommence… quand il est venu j’étais en pleine crise…
– ça fait six mois… on dit encyclopédie
– et maintenant ?
– quoi maintenant !
– … ben tu dis il y a six mois on dit encyclopédie et maintenant on dit comment ?
– laisse tomber Atharexa… il avait une moustache…
– queue ça peut foutre… Raphaello a une barbe, ça l’empêche pas de peindre des maquillages… encyclopédiques

– tu peux qualche cosa  Luigi… pourquoi queuqu’eu tu dis rien… plutôt que cake-chose ?
– je pense…
– à quoi ?
– à ce qu’elle vient de dire…

Kè Ke J’a Di ?

Alors le Luigi, le Pirandello, le sicilien… ratio-cina tel Corneille en cinq actes… Atharexa mouchait… Raphaello calligraphiait… Sosthène notait pour son prochain show…
« Imagine Atharexa… tu montes sur scène… personne ne peut te remplacer pour vivre TA vie…
A ça non… que même quando vengo… j’hâbla pas el francès… y mes espadrillas étaient trouées… Ya Queue Moi Ki Sé !
Bravo dit Luigi… tout comme Djougachvili… le Koba le Sosso… lui seul peut interpréter sa vie…
Imagine Raphaello… il monte sur scène qui peut le remplacer dans son rôle ?
Nessuno non é possibile… amici… é vero… Luigi.
Et toi Sosthène… comme Joseph était faber lignarius travailleur du bois… tu travailles le fer blanc…
Basta du martel en tête… maintenant je scribe…
Oui mais si on te donnait le rôle de ferblantier… à jouer sur les planches du théâtre Le Mel Belchior de Larchy tu n’aurais pas besoin d’un texte…
Tu sais Luigi avec les autorités de tutelle… jouer le fer blanc contre le fer forgé… j’m doute comme disait le populiste… c’est un peu comme la fable… entre son pot de terre et son pot de fer… y’en a un qui pète… c’est pas le métal…
Sosthène… j’vais te dire une bonn’chose… t’es trop anar… faut pas dire trop les choses… ça blesse les gentilés Ki Ke sont assis sur leur Aventin…
Comme le Michel Eyquem Ka Di « Sur le plus haut trône du monde, on n’est jamais assis que sur son cul. »

… absolutum verifiarem… dès que l’élu a franchi ce niveau d’altitude la toise modifie… la raison… mais revenons à Koba…

La question reste…
Qui a choisi Sosso le Koba le Djouga…
Pas moi dit Raphaello… ni moi dit Luigi… moi non plus dit Sosthène… j’a pas élu dit Atharaxe…
On interrogea les autres acteurs… l’accessoiriste… la costumière… le coupeur de citrons… la technicienne des surfaces… le pompier de service…
Nuls n’avaient donné son imprimatur pour que le p’tit père des peuples se trouve sur scène… il était apparu tel le Phénix… avec quel panache!

Ki ?
Silence !

Dense

… après avoir vu ce qu’on avait vu et entendu ce qu’on avait entendu… les trente-cinq présents de la troupe se perdirent dans des abysses de réflexion… alors, on eut bien raison de penser ce qu’on pense.

Luigi… tel « il pensatore » celui qui en son temps avait inspiré le penseur de Rodin…
Théorisa dans une sorte d’oraison de l’instant fugace :
« J’emblave… dit-il… nous vivons des résurgences de phénomènes qui nous dépassent… ici… à Larchy… le Mel Belchior… un homme prend place dans l’espace sans que nous en ayons conscience… il monte sur scène… il ne joue pas… il est… tel Descartes… « cogito ergo sum » j’ai une moustache… je tiens ma place du moustachu le Koba… »
… tout le monde trouve Sa Boooo… nul n’a dit mot… maintenant, où il est ce Koba… puisqu’il n’est pas parmi nous… se nicherait-il… en nous ?

C’est pourtant un fait…
Chacun a interprété ce fait… selon la logique de son exégèse…
Sauf que… ne sachant comment Koba est parmi nous… chacun a interprété la mise en scène de son arrivée… glissement progressif… subjectif… jouissif…

… nous sommes hors raisonnements…

Fenotes et gones… larchyrots et larchyrotes… nous fûmes conquis… par la prestation… sommes-nous inconscients… les choses adviennent-elles sans que nous les ayons voulues… ? Quelle attente avons-nous acceptée dans cette inconscience… l’élu admiré serait-il à ce point travesti de pouvoir que le pauvre péquin abdique sa raison critique ?

Ce fut dit dans un grand silence… introspectif… alors, parce qu’Atharexa était juste en train de trompéter pour extirper son coryza, elle n’entendit pas la fin de l’oraison-cinna-cynique de Luigi… elle plia son carré de toile… se redressa… questionna :
– Sé Ki Ka Di Sa ?
… le hourra suivi… la troupe chaleureuse applaudit communautairistiquement… ce point d’orgue.
Le seul tort de Koba était d’être absent…
Alors on s’abreuva au troisième fleuve du Confluent…

Gentilés
Si le voulez bien
Lisez suite semaine prochain

Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes
L’Ange Boufaréu

 

 

 

 

 

Koba ou la sombre rémanence. Episode second : Matriona Pétrovna

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… Gentilés entrons dans l’action… nous sommes dans le théâtre Le Mel Belchior à Larchy… tranquille commune… enfin… presque… car la nuit les chiens aboient… pourtant,  il n’y a plus de caravanes… dans le sérail.
Donc… Koba au bord de la scène du Mel Belchior vient de déclamer
Urbi et Orbi…

« Non… mesdames et messieurs… Koba n’est pas mort ! »

C’est une abêtessistupidissement… réaction logique…
Les larchyrots et les larchyrotes tous bons gones et gentes fenotes se lèvent comme un seul genre car il n’y a plus de sexes différents… enfin c’est « ceux cons » dit…

Du fond de la coulisse… arrivent trois porteurs d’étendards… sur lesquels « Glänzen…сияет : siyayet » selon saint Cyrille… brillent en somme, trois portraits de Koba… en rouge carmin… (le metteur en scène les a rassemblés par volonté stakhanovisme utile… pour aller vite…)
Le peuple est agglutiné au pied de la scène… de vastes remous… plus violents que mous donc tangibles… on n’avait plus vu ce chambard depuis la bataille d’Hernani en 1830… contre Victor le Hugo… fusent des cris… des renâclements… des injures dures mures fumures bromure… qui perdurent !

« Encore de la Pub… dit-l’un.
« Koba ? Mais c’est la moustache de qui… questionne l’autre.
« Mort aux cocos… crie un blasonné.
« C’est un miracle… esprit de Koba es-tu là… susurre une voyante.
« Il est mort le 5 mars 1953… bon débarras… conclut un déménageur…

Alors surgissent les passions post 89… se dressent des guillotines virtuelles… le peuple se réveille sanguinaire, on en vient à « pugilater »… deux courants… non trois… comme au bon vieux temps se forment il y a les antis… les pours… les neutres bien de chez nous qui attendent de voir où va souffler le vent dominant.
Mais tout d’abord… si vous le permettez relisons une tablette numérique qui enregistra la pièce… nous sommes dans la dernière scène… il est vingt et une heure quarante-six minutes et quelques secondes…  la tension est « palpable »… selon la litote consacrée des feuilles de choux… joujoux… poux… hiboux…

Nous sommes non loin de Moscou à Kountsevo… dans la datcha de Koba…

– (Matriona Pétrovna la vieille bonne de Koba soliloque)… ouais… le Sosso… ce matin a bien fainéant… j’a entré dans sa room… l’autre… dormait par terre… que tu fous-là le Sosso ? Putain même communiste toi dormir dans lit… t’es qu’un porc…
– fous la paix… pétroneuse…
– Petrovna… parole mais t’es rond…
– appelle-moi ces deux types…
– or… comme savez, moi Matriona Petrovna bonne de Sosso… que même quand l’est bourré, souvent je lui démerdais le cul… eh bien j’avais tous les carnets secrets… même la bombe… pendant ce temps le Sosso râlait… j’appelais sur mon portable transcontinental… les deux types… le Sosso restait assis par terre…  l’avait une sale gueule… toute tordue… tu veux tisane Sosso…
– tu veux ma mort… ou quoi ? Appelle que j’te dis…
– c’est fait ma crotte… soudain la « loubiankaka-hertziennatov-machinikovitch » répondit… voilà qu’arrivent deux types… z’étaient présents comme je vous voise… par où qui z’étaient passés… boule de truc magnum…
– on dit « mystère et boule de gomme »… dégage qui dit le Sosso…
– je me barrais… mais restais entre les deux portes… là je vistule… les deux types… j’entendois les causeries…
– salut Luigi… oh Sosthène… qui dit le Sosso
– salut Pépé qu’est-ce qu’on peut faire pour toi… dit le citoyen Luigi.
– je veux organiser un complot !
– bah… c’est pas nouveau dit le Sosthène… qui était un peu plus grand…
– ouais… mais cette fois-ci… j’en ai assez… je me barre d’ici… j’en ai marre de me coltiner ces trous du cul… les Beria, Malenkov, Khrouchtchev, Boulganine… ce soir je suis définitivement ailleurs… avec ma call-girl… donc fissa fissa… il faut trouver un sosie qui sera là à ma place… vous pigez ?
– parfaitement, tu sais chez nous en Sicile répliqua Luigi on a l’habitude de trouver un remplaçant… d’abord on élimine le trop plein… il reste celui qu’on a désigné…
– moi dans l’hexagone je t’écrirai une belle eulogie carminée ampoulée… tu sais que l’Hexagone est le seul pays au monde où le communisme a gagné… alors pour écrire l’oraison sans raison… on a l’habitude !
– je m’en fous des cocos…
– je viens d’appeler la fratrie, reprit Luigi… j’ai trouvé ton homme p’tit père… c’est un type qui s’appelait jadis Djougachvili… il arrive dans les secondes qui suivent…
– j’en ai entendu parler… ajouta Sosthène…
– m’en contre-fous… fais-le venir… moi je me barre… on se retrouvera… plus tard… faites-moi signe… j’ai acheté une chaumière du côté de Larchy… motus !
– pas soucis… p’tit père.

Un petit « clop-pp ! » v’là le Sosso-Koba disparu aspiré par le cosmos « loubiankaka-hertziennatov-machinikovitch »… la bonne qui avait tout entendu revient avec un prétexte… elle portait une tisane…
– tiens le Sosso… mais où qui l’est le drôle… je cherche que je cherche… les deux zigues me regardent farfouiller… l’un m’adresse la parole dans une langue gratoubchky
“Non preoccuparlei cara signora, il nostro amico è andato a dire una preghiera” (Ne vous inquiétez pas chère madame, notre ami est allé faire une prière : traduction du correcteur… payé au lance-pierre… encore une bérézina…)
– tu vois bien Luigi, elle ne comprend pas… je vais lui dire en langue hexagonale…
– ça moi comprendre… le frantsuzskiy yazik…
– Sosso… chère madame est allé faire une prière…
– ce trou du cul qui prie… non mais t’es cinglé le frantsuzskiy… et voilà Matriona Petrovna la servante partie dans une quinte de rire à 110 déci aussi bels que beaux, monta jusqu’à la septième mineure… grimpa à l’octave en do majeur vers un point harmonique où elle fut remuée d’un gargantuesque-slave rire… ça existe… là sans aucun souffle restant suffoquée elle s’écroula… un instant… enfin calmée, elle reprit ses sens pour s’apercevoir que Luigi et Sosthène avaient disparu… ne restait à ses pied qu’une méforme cunéiforme en forme d’infundibuliforme… elle toucha l’uniforme… l’autre grogna.
– ho le Sosso où t’étais… j’a posé le tasse… bois quand c’est chaud…
La bonne Matriona Petrovna sortit agitée… « avant d’utiliser »… avait-elle rêvé ou vécu ?
Plus tard comme Koba ne se manifestait pas… elle appela sur la ligne satellite… ils arrivèrent… ils étaient tous là… le Sosso pionçait toujours en grognant… ils étendirent le dormeur sur le lit… deux par deux… toutes les deux heures… veillèrent… Sosso râlait toujours…

– je ne l’ai pas reconnu souffla Boulganine
– la vieillesse est un naufrage… mais il est fort… n’est-il point Staline… l’homme d’acier répondit Kaganovitch.
Après de multiples relèves… Sosso ne râlait plus…
– il a trouvé enfin le sommeil profond dit Khrouchtchev… tous deux sortirent… tels les ballerines du Bolchoï sur la pointe des pataugaz… 
Vers 9 heures du matin… les heures passaient… tous les adorateurs-nomenklaturistes étaient présents, confondus d’étonnement devant la durée du temps de la sieste du p’tit père… on ordonna au médecin d’aller voir… il entra, conclut à la mort de Sosso… aussitôt il fut saisi par quatre balèzes « NKVDitsky » direction gulagotrousky… ce qui donna à méditer aux têtes pensantes… pensez-donc un acte politique… une ruse de l’histoire, selon Hegel… sublime, surtout pour les prétendants.

C’est ainsi que l’homme officiel présent dénommé  Djougachvili « fut mouru » selon le mot de Matriona d’une hémorragie cérébrale… le 3 mars 1953.
… intra-muros… Larchy retint son souffle…

Le rideau tomba… impérial… dans un silence sépulcral… atonal… rime en al…
Larchyrots et larchyrotes sublimés restèrent un instant muets devant un abysse insondable… seraient-ce des gognandises ou bien… puis lentement chacun sut qu’il devait applaudir… ne sachant point comment… regarda le voisin… alors par mimétisme la foule claqua dans les mains… un triomphe.
Le rideau s’ouvrit… la troupe revint saluer…
… et éclata la controverse…

Heureusement Larchy eut son sauveur…
Dans la foire des pours, des contres, des neutres… Sosthène Grumeucheux, ferblantier de son état… dans un double salto bondit sur scène… prit un micro « si on… vous a proposé ce sujet… vous vous en doutez c’est à la fois un canular… un complot… une ruse de mise en scène… une création que le monde nous envie… inspirée de Luigi le Pirandello ! Pour votre plus grand plaisir. »
Ce fut une broncas contre les contres un hourra chez les pours… ceux qui ne s’étaient pas mouillés se mélangèrent… tout le peuple se retrouva à la buvette pour le pot lyonnais bien gagné…
Or, citoyens… l’affaire ne s’arrêta pas là… ce n’était que le début… d’un vaste dramuscule en gésine…

Gentilés
Si le voulez bien
Lisez suite semaine prochain

Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes
L’Ange Boufaréu

 

 

… Salon de la Poésie et du Développement Personnel…

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Destination… Le Lac Bleu… 
Sous la houlette de Denis Daul et Sandrine Le Banner

大运河… Le Grand Canal m’invite à laisser un message. Comme je ne veux pas user de ce temps qui m’est imparti, je n’aurai qu’un mot à dire…  Merci.
Mais, l’Ange me connaît et il sait que je ne vais pas me contenter de cela! Ah mais…
Je voudrai rajouter que ce Salon n’aurait jamais pu se faire sans la douce Sandrine, ordonnatrice des vidéos et profil de chaque auteur. Ce travail à deux, dans notre nid, fut un vrai plaisir et notre joie sera complète lorsque nous aurons tous les auteurs à la table du partage.
Nous espérons que les visiteurs viendront nombreux et que samedi soir, nous puissions contempler la réussite du premier Salon de la Poésie et du Développement Personnel
Qu’il en soit ainsi.
Denis et Sandrine

Participants

                              Bruno Vermare                              
Jeanne Henocq
Yves Martinengo
Joelle Vincent
Jean-Philippe Maillard
Isabelle Gayet
Harout Iliozer
Chantal Baudoin
Alain Graz
Annie Breysse
Daniel Miguet
Anne de Guerville
Jean-Michel Adde

Sous la protection d’un « ginkgo biloba » et ses fruits qui nourrissent les poètes… joyeuses rimes… 

Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes. 
L’Ange Boufaréu 

 

 

 

 

… poésie…

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Deux Nids rime avec Poésie… rime riche… mais il ne rime pas seul… il « œcuménise » les poètes… grand bien nous fasse en ces temps rabougris… il nous invite à Charavines… où il accueille une Pléiade lumineuse…

L’Ange Boufaréu en est ravi… osez la rime avec Deux Nids.

Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes 
L’Ange Boufaréu