Les vitraux de Notre Dame de Paris…

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Gentilés…
Je vous souhaite une année rabelaisienne lumineuse à forte santé totale… je suis généreux en ce début des temps de Grâces…

J’ai ouï lu… que le « résident » dans ses salons du haut de son mont-ticule… supputait de réaliser un appel à candidature pour créer des vitraux en lieu et place à Notre Dame de Paris…

Il semblerait que les artistes ès vitraux modernes… aient vent en poupe… car « le résident » est un homme… progressiste… qui aime son peuple artisan… il veut du moderne.

J’ai réalisé une hypothèse que je vous soumets… je sais, je ne suis pas un artiste du vitrail… mais avec un scanneur, une imprimante, des ciseaux et de la colle… on arrive à des résultats… critiquables…

Oui, notre « résident » veut passer à la postérité… pour des siècles et des siècles… Amen!
Imaginez-vous, visitant Notre-Dame en fin de l’An de Grâce 3024… en entrant vous découvrez le célèbre vitrail du saint… qui a donné sa vie à la Gaule… qui n’en avaient rien à foutre… alors… gentilés… c’est le recueillement devant tant d’abnégation…

Hélas!

                                                       Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
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vous trouverez les opus édités…
                                                                                       
L’Ange Boufaréu.

Clap de fin… 31 décembre 2023

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Cette année échue… j’ai été peu présent sur le pont du navire Blog… je méditais… « ère cabussa dedins uno founs meditacioun… j’étais plongé dans une profonde méditation… » chuchotèrent les Félibres Provençaux qui m’assistent.

Jean de La Fontaine suggéra que : « les ans en sont la cause » … l’arthrose aussi !
Nonobstant, on dit qu’avec le temps, l’antique ne voyant plus les détails acquiert une certaine distanciation permettant l’émergence du réel.
Quel est donc ce réel ?
C’est le même que celui qui règne depuis 2016.
En cette fin d’année-là, je lus l’opus d’un « marcheur » dans ses starting-blocks.
L’angelot rigolard arborait le marcel-maillot « Révolution » … j’m’doutais.
Quelques mois plus tard, le peuple l’adouba… lui et sa « Révolution » prophétique.
Je révèle haut et clair que je n’en suis point responsable, car, ayant exploré en diagonale, en large, en travers, en profondeur, le style, le contenu, le fond, la forme et l’extase du scribe, j’ai flairé la mise en scène… je n’ai pas souscrit…
Quelques voix autour de moi qui avaient eu le geste fugace de feuilleter le texte, émirent une litote distanciée spatio-temporelle : « C’est trop beau pour être vrai. ».
Mais le scribe était si adorable, il sentait si bon le sable chaud. Certains même avant la grande votation, lui donnèrent le bon dieu « ni-ni » sans confession tel « l’angelot » négligeant l’exégèse intemporelle quant aux sexes des anges… error irrationalis…
Ils n’ont pas vu le tréfonds de « Révolution » cet ensemble de prédicats … qui révèle à présent 7 ans plus tard un florilège d’annonces qui ne furent que du vent… le « en même temps » se poursuit… nous le boirons jusqu’à la lie… à l’hallali…
Sans doute ne fut-il pas le seul à suivre cette voie de ne point réaliser ses annonces… mais « l’angelot » ne se contente pas d’une seule promesse non tenue, il sème chaque jour sa sinécure antithétique… voire plusieurs fois pas jour… il enfume…
Il illustre ce principe : que le prédicat est au séculier ce que l’oracle est au prophète. Pour beaucoup le « résident » cumule le pouvoir séculier autant que l’état de prophète.
Je me fustigeai d’être à ce point critique. Alors, je suivis les auteurs, les gazettes, les journaux, les podcasts TV, les émissions, les replays youtube et journalistes… certains.
En cette fin d’année 23… j’ai cueilli une phrase énigmatique :
« Si le « résident » angelot était aimé… ça se saurait ! »
Mais alors qui l’a élu ?
Depuis 2016 je ne sais qu’une chose : ce « vide éthique » détruit notre cohésion, notre culture, nos traditions, nos réflexes antiques, notre nation. Il agit avec désinvolture sans colonne vertébrale nette ni distanciation, il nous fracasse sous nos yeux, aux grès des vents mauvais… pour sa gloire.

« Gentilés : Mille vœux à vous et à votre Santé… tenez bon tati ! » 

Adessias.

 

Et pendant ce temps… Eh! l’Agirc-Arrco… Coco!

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Il était une fois…

Dans mes études… très anciennes… au CNAM… nous eûmes à étudier la création et la gestion des régimes de retraite de l’Hexagone : depuis la Libération en 45.
Le principe qui avait été proposé à la base, était celui d’un régime général où tous les travailleurs cotiseraient pour payer les retraites des anciens : style égalité devant le travail et ses conséquences, qui aurait dû avoir l’assentiment du peuple de gooooche !

     Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes                                                                        Gentilés                                                                          Si le voulez bien                                                                        Lisez suite jour prochain ... vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/ ... vous trouverez l'opus "Le Fils du Vent"                                                                                      L'Ange Boufaréu

Hé bien non : certaines professions du secteur public refusèrent de cotiser à ce pot commun, arguant que le nombre des « travailleurs » de ce secteur était de très loin supérieur à celui de ses retraités.
Il était donc hors de question que le secteur public paye pour les autres catégories du secteur privé !
                                               De goooooche : c’est clair ?

L’État courba l’échine et créa des régimes spéciaux pour ces secteurs arrogants, plus égaux que les autres… tous dépendants de l’État : le secteur public !!!!! bien sûr !!!!!
La SNCF fut l’un de ces régimes où les roulants étaient plus nombreux que les retraités avec lesquels le régime spécial SNCF engrangea un pactole… hélas.
Peu d’années après, la situation s’inversa : le nombre de roulants devint très largement minoritaire, leurs cotisations ne pouvaient plus assurer la retraite des anciens, le pactole devint peau de chagrin, le régime allait à la faillite !
L’État décida unilatéralement un diktat : une opération pickpocket.

Style… B… d’affaires… B comme business… boxon… baisé… bref!

C’est ainsi que les fonds épargnés du régime général, qui n’avaient reçu aucune cotisation des roulants de la SNCF, prirent le relai pour sauver le régime des donneurs de leçons, dans le mutisme total des syndicats soudain silencieux…
L’argent du privé dut accepter sans broncher de secourir ceux qui les avaient snobés.
Le « résident » actuel du faubourg Saint-honoré du haut de son mont-ticule… est en passe de faire le même hold-up.
Il nous fait encore le coup dont il est coutumier tel le Covid entre autres quant à sa volonté de mutualisation à l’européenne… style banquier d’affaires :
« J’ai rien tu as tout on partage et je prends 50% sans frais ! »
Mais aussi, où il est démontré que le secteur public ne sait toujours pas gérer ses structures, lire les rapports de la Cour des Comptes : (parfaitement inutiles)… l’État rapine dans les caisses du privé, tout en se déclarant ni de gauche ni de droite… banquier vous dit-on !
Silence dans les rangs de l’opposition…
Mais au fait : « y a-t-il une opposition ? »

                                          Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
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vous trouverez l’opus « Le Fils du Vent »
     
L’Ange Boufaréu.
                                                                         

Tango

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Hier, mon ami…

Pablo y Vargas y Hombre y Cantar de los Tangos de Galicia
… vint me saluer, il venait en France pour vendre de la viande, à un distributeur… je l’avais rencontré du côté du Finistère… là-bas, il élève des taureaux… ho ! ho !

… Oh ! Ange… (Ange, c’est moi : L’Ange Boufaréu)
… si tu savais ce qui m’arrive…
bebe tu pastis luego hablaras… a tu salud Pablo…
a tu saludAnge !

Il boit et claque la langue… en posant le verre… que je remplis… à nouveau…

… tu as lu le journal Francès, il dit que les Français doivent arrêter d’élever les vaches… ellos están locos… tu sais pourquoi ?
… si, los Verdes Francès de la política dicen… (les Verts français de la politique disent) que les vaches pètent trop elles saturent le ciel de flatulences… alors, il faut arrêter de les élever en France… sinon on va mourir asphyxiés…

Pablo me regarde, tel une statue de sel des époques bibliques… incrédule…
que passa Pablo ?
… je commence à comprendre… imagine-toi, je suis allé dansé le tango… tu sais que j’adore le tango…
… et ?
… et ! j’invite una bella chica… rubia… preciosa… moi, j’aime les filles blondes… en chair… j’avais demandé un tango torride… alors, je m’emploie à donner à la bella chica le meilleur de moi-même, tu sais avec la main dans le dos pour la guider, je lui invente des véroniques de matador, des figures extraodinaires, je la sublime avec mes politesses d’hidalgo, vé Ange, une merveille… tu sais que je danse comme le dieu du tango…
… si… et au passage tu frottes un peu…
ben c’est normal… c’est tango… la chica s’arrête, elle me fait une tête de sept pieds de long, elle veut retourner à sa place toute seule alors que le torero doit la raccompagner… elle me toise et alors que la musique repart pour un autre tango… elle me dit :
… merci, ça va, un seul tango… monsieur… ¿cómo te llamas?
Pablo, mi nombre es Pablo¿Qué está pasando? Qu’est-ce qu’il se passe ?
… moi c’est Fernande, assieds-toi hidalgo, je vais t’affranchir… qu’elle me dit.
… mon pauvre Ange, la honte que j’entends, tu vois la preciosa me dire à moi que je suis plus à la page et m’ordonne de m’asseoir, le monde à l’envers, comme les vaches Francès qu’il faut plus élever parce qu’elles pètent, mais c’est la nature, comme le tango… c’est un grand hommage à la femme…

ici, dit-elle… qu’est-ce que tu bois Pablo?
Tequila…
… ici, jadis… les « blancs » nous servaient la même guimauve… la grande tirade de la courtoisie, la politesse, la main dans le dos pour te manipuler, les courbettes que tu aurais gymnastiquées en inspectant la femelle pour savoir où comment et quand tu vas la baiser… et je te pelote… et je te frotte… et je te déverse des prédicats mielleux… et je te raccompagne avec des courbettes… et je te joue le romantisme latin…
… Ange… j’en croyais pas mes oreilles…
… ben tu vois Pablo… ici, c’est fini…
… mais la politesse… ça existe…
… ouais, la politesse édictée par l’homme blanc… catho… paternaliste… prétexte à endormir tes défenses… pour mieux te baiser… ça suffit… dominateur!
… mais il y a des différences…
… il n’y a plus de différences… à présent, pour venir dans l’hémicycle on porte la cravate et le pantalon, inaugurés dans les années 60 par Saint Laurent…
… mais c’était un…
… qu’est-ce que tu as contre eux… ? À présent on est identique…
… ben pas tout à fait…
… tu plaisantes Pablo… qu’est-ce qu’il manque ?
… ben… dans ma culotte… y’a un bout… que tu n’as pas…
… t’as vu la vague « genrée » pour réduire ce petit pédoncule inutile… tu es contre l’égalitaire ?
… je ne vois pas l’égalitarisme… il y a la femme et il y a l’homme… et basta !
… depuis deux mille ans d’erreur historique… on nous a parqué dans le clan nana… c’est marre… il n’y a plus ni vierges ni nubiles ni gravides ni ménopausées ni même femelles… c’est fini le clair-obscur de l’être et du paraître… à présent c’est l’égalité… au pouvoir… on a décidé de choisir son genre…
… pas possible…
… c’est ça, la côte d’Adam devenu le souillon du mec… non ça ne passe plus… il faut regarder le réel, le vrai… à présent, nous avons la capacité de nous recréer, de nous gouverner nous-mêmes, nous avons atteint la maturité… et la maturité des masses ne tardera pas… les différences seront laminées…
… en coupant tout ce qui dépasse ?
… en coupant tout ce qui ne sert à rien… à l’apothéose de l’égalité… par décision de nous-même… la cravate et le pantalon ne sont pas des attributs du pouvoir paternaliste, ils sont universels…
… j’y comprends rien… alors ça va que dans un sens… mais, dis-moi, comment on fait los niño… y los niña…
… la science est universelle, elle peut tout… c’est le sens de l’histoire… il n’y a plus de sexes discriminants… on choisit… son genre…
… Ange…
… je te jure… j’avais plus envie de tango… ni de Tequila, elle m’avait foutu les jetons la… le… vis-à-iel… pourtant il y avait une question que je voulais poser… je ne savais pas comment la formuler…
Mais comment dire elle… il… iel me regarde… tu sais plus.
… tu voudrais que je réponde à la question qui te démange…
… est-ce possible… mademoiselle Fernande ?
… y a plus ni la mademoiselle… ni le Fernand de jadis… j’ai décidé de choisir mon genre… en coupant ce qui me gène…
Fracassé… le Pablo… devant un sujet si peu véniel puisque réduit à iel
… je crois que je dois y aller… Ferna…nan…dan…na…no…tan… go!
Buenas Tardes Pablo… la tequila, c’est pour moi…

Je sortis… j’étais sonné, j’avais rien bu… il faisait nuit dehors et dans ma tête…
… tu sais pas Ange… pendant tout le temps que je marchais pour revenir à mon hôtel… je me disais :
« Putain Pablo… tu te fais vieux! Tu as fait un tango avec un mec raccourci… tu t’en es même pas rendu compte, en plus tu avais envie de la… le… bais-iel ! »
… Ange mi amigo… el futuro es oscuro… ya no entiendo nada…
Demain, je retourne chez moi… je reviendrai plus dans ton pays… là-bas chez moi j’irai vivre avec mes vaches qui continueront de péter dans mes champs… et je te vendrai ma viande sur le Net…
… estos Francés realmente se quedaron… ils sont demeurés… de bêtise… totale…
Adios Ange… amigo.

                                                    Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
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vous trouverez l’opus « Le Fils du Vent »
                                                                                        L’Ange Boufaréu

 

 

 

 

 

… interpréter les prédicats… du « résident »

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« Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »

Avons-nous bien lu ?
Ouvrons, le manuel de physiologie : pour produire la phrase-titre, l’homme qui cause, a utilisé les poumons, le larynx, la langue, les lèvres et le voile du palais…
… le palais de l’Élysée ?
… c’est ça, l’homme du palais se déplace, il transporte « son organe de la parole »
… c’est là qu’il dévoile… son larynx…
… oh ! il m’escagasse ce type…
… qui rime avec syrinx, la flûte de Pan…
… c’est ça, la flûte de Pan du « flûtiste » il a é-mifa, sol, la, si, do… cette phrase, il y a six ans… à cette époque, le monde était encore vierge de sa jactance…
Stupéfait d’ouïr : « Il n’y a pas de culture française. »… le peuple attendit la suite…
Depuis, hélas ! hélas ! hélas !… écho des mannes de nos ancêtres.

Définition : « Dictionnaire de Philosophie » de Jacqueline Russ. (Bordas 1991)
Sens courant : formation spirituelle, ayant élevé le goût, l’intelligence et la personnalité à la dimension de l’universel. L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement…

Analysons le prédicat du quidam qui prononça cette phrase, lequel ci-devant, adoubé,  généra plus tard, d’autres approches « diachroniques », mais il n’a pas varié quant au fond « synchronique »
Il est vrai, que tout un chacun énonce un jour le contraire du jour caduc.
Mais le « résident » n’est pas un simple péquin, il se veut salvateur… si… si… sauver cette France où « Il n’y a pas de culture française… »
Lors de l’époque diégétique où il n’était qu’impétrant-futur-résident, il commit ce projet salvateur dans un opus célèbre paru en 2016 : « Révolution »(sic) où il divulguait les prolégomènes de ses actes futurs.
À présent, il occupe le strapontin du mont-ticule faubourg saint honoré, il fut élu par un peuple…
Sans doute, ce peuple a lu l’opus, qui aurait pu être écrit en volapük.  Or, le peuple nourri de culture française… lit le français… sur le sol français… en France, depuis l’Édit de Villers-Cotterêts… où François le Premier instaura le « français »

Avec vous mes frères, ouvrons l’opus… puisque nous faisons partie de ce… bis…
Chapitre N°1 « Ce que je suis » pages 11 à 32…
Nous lûmes haletant ce chapitre générique (21 pages, soit 7,924528301% du tout qui en compte 265) quant à la construction physico-chimique autant que psycho-éduco-sociologique, autrement dit l’état ontologique de l’impétrant, avec attention.

À l’énoncé de ses maîtres et relations, nous supposâmes que son acquis était le fruit de la Culture  Française… jugez-zan !

« … apprendre la grammaire, l’histoire, la géographie… »… lire Molière, Racine, George Duhamel, Mauriac, Giono… écouter Léo Ferré… découvrir le chat de Colette… Gide et Cocteau, mes compagnons… écouter Chopin en découvrant Giraudoux… étudier le piano et le théâtre… emprunter les chemins de Flaubert, Hugo… Balzac… « J’avais une obsession, une idée fixe : vivre la vie que j’avais choisie… » alors… la chance fut la rencontre avec le philosophe Paul Ricoeur.

Viatique lapidaire de ce compagnonnage(sic) :
«  Ne jamais céder à la facilité des émotions ou de ce qui se dit. Ne jamais s’enfermer dans une théorie qui ne se confronte pas avec les choses de la vie. »

… puis ce fut la banque Rothschild…

Pensez-vous ! peuple que cette banque eût accueilli… un neuneu… un inculte… un néant culturel… « a man without culture ? »… ah comme c’est mieux en anglais ! Yeh !
Vous avez raison, cette banque n’intègre que des gens cultivés qui ont la capacité de comprendre la structure complexe des situations, ceux qui ne « cèdent pas aux émotions »… « ceux qui ne s’enferment pas dans une théorie… »

Alors peuple, vous l’avez élu grâce à cet impensé : « il était beau… il sentait bon le sable chaud… »
Comme l’énonce le philosophe germain du dictionnaire de Jacqueline Russ :
« Produire dans un être raisonnable cette aptitude générale aux fins qui lui plaisent en sa liberté : c’est la culture »
… l’impétrant affirme sa voie :
« J’avais une obsession, une idée fixe : vivre la vie que j’avais choisie… »…
« Ne jamais s’enfermer dans une théorie qui ne se confronte pas avec les choses de la vie. »
… c’est ainsi… selon la définition du dictionnaire, après avoir élevé sa : formation spirituelle, ayant élevé le goût, l’intelligence et la personnalité à la dimension de l’universel. L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement…

… et son jugement alors fut :

« Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »

Il n’y avait aucune justification à émettre un tel propos seulement, prouver que : L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement… peu importe ce qu’il dit !
… dans le Midi provençal, on dirait : « la culture me n’en caga ! » Inutile de traduire !
Or le « résident » n’est pas natif provençal…
C’est grâce à sa culture, qu’il devint « résident »… dixit l’opus…
Mais… le parvenu nie la culture, il se libère gratos, il s’éclate comme disent les mômes…
Car… « L’homme cultivé est ainsi en mesure d’exercer son jugement. »
C’est ça, après avoir tiré la substantifique moelle de la culture française… il décide… qu’il n’y a pas de culture française…

Exit Clovis 1er, couronné roi des Francs en 481, premier monarque en France qui depuis agrège et construit sa culture vernaculaire autour de cette base… Clo-Clo… serait un roi entre autres… d’autres lois… d’autres peuples… d’autres religions… un bazar melting-pot indistinct divers… depuis 15 siècles sans avoir créé une culture identifiable… avec migrations sans frontières… puisque :  

« Elle est diverse »

« Mais bon sang, mais c’est bien sûr » aurait dit Raymond Souplex… vous en doutiez?Cette qualification affranchit le « résident », dès lors, il ne se prive pas de « diversifier » ses prédicats… dans ses causeries ampoulées… devant ses cours ravies…
Le philosophe de Königsberg, le petit père Kant, l’a écrit :
L’homme doit être cultivé. La culture comprend l’instruction et les divers enseignements. Elle procure l’habileté.
Le « résident » a acquis « l’instruction et les divers enseignements » qui depuis Clovis 1er fleurissent dans l’hexagone sous le terme générique de Culture Française…
Mais lui, « résident » fait fi des Nobel, les écrivains Français dans ce petit bout d’hexagone, où la Culture française est la plus titrée… ces textes l’ont formé…
Il poursuit pourtant, la tradition depuis 1959, quant à nommer une Ministre de la Culture… à quoi sert-il ce ministère, s’« Il n’y a pas de culture française ? »
Laquelle Ministre de la Culture répondit lors du récent Molière dans une ubuesque mise en scène que « … ce ministère de la culture… défend haut et fort l’exception culturelle française ! »
Mais, s
« Il n’y a pas de culture française »… pourquoi y aurait-il une « exception culturelle française ? »
Incohérent… ci-devant « résident »
Revenons à Kant… une autre Kultur assumée :
« L’homme doit être cultivé. La culture comprend l’instruction et les divers enseignements. Elle procure l’habileté. »

„Danke, Herr Doktor Philosoph, Sie haben alles verstanden.“

Voilà la raison, la culture « Elle procure l’habileté ! » de prétendre en tant que « résident »  qu’il n’y a pas de culture française…
Ce n’est pas la seule cuistrerie… mais qu’y faire quand les gazettes autorisées se taisent…
Les autres chapitres de l’opus 2016 semblaient…
Il faudra patienter… le futur « résident »…

En l’attente, on aurait envie de parodier la citation du « résident » je n’y puis résister…

« Il n’y a pas de dessein français. Il y a un gribouille hexagonal. Il effeuille ses divers habiles prédicats. »     

                                                Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
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