… de l’art du portrait…

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L’art du portrait s’est développé en peinture, dessin, photo, sculpture, littérature…
« Se faire tirer le portrait » surgit dans le vocabulaire, aux années de la création de la photo à l’époque de Nadar. Avant ces clichés, pour son portrait, le bourgeois argenté pouvait se payer un peintre… les séances étaient longues et coûteuses… avec Félix Tournachon, chaque gentilé put alors moyennant des minutes d’immobilité en ajoutant quelques sous, avoir sa photo… « mieux qu’en vrai ! »
Mon papier ne traitera que du portrait littéraire.
« Les caractères » de La Bruyère (XVIIe siècle) en sont le point d’orgue, son œuvre n’est consacrée qu’à ce genre. Mais on rencontre le portrait dans tous les romans, ils offrent au fil des chapitres des épaisseurs qui donnent de l’intensité au développement.

Quel est l’objectif du portrait ?
Portraiturer est une épreuve d’observation minutieuse.
Nous savons que nous évoluons dans un espace ouvert au regard de tous. Si nous voulons découvrir notre image, il suffit de la confronter à un miroir… or celui-ci ne nous révèle qu’un quart de notre physique. Nous ne parviendrons jamais à « voir » directement notre profil droit autant que le gauche et encore moins notre nuque qui renferme pourtant notre encéphale reptilien… hors contrôle.
Le portraitiste n’a pas ce handicap, nous évoluons sur un axe de 360°, notre épaisseur s’offre à lui sous toutes ses dimensions… à notre insu.
Dès lors pour tirer le portrait, il suffit de voir… selon le dit de Flaubert « Je montre ce que tout le monde voit… mais que personne ne remarque ! »
Voilà le mystère du portrait, il fait la synthèse de toutes les facettes du modèle y compris l’aura qu’il dégage.
Que va choisir le portraitiste comme style… critique… cynisme… gouaille… procès… dérision… envolée littéraire…

Pour ce qui me concerne…
Je suis engagé dans une voie qui tend à décrypter le sujet de l’intérieur…  après avoir intégré le style de La Bruyère, étudié deux auteurs modernes Paul Reboux décédé en 1963 et Charles Müller décédé en 1914.
Ils furent caricaturistes : « A la manière de… » ils pastichent les grands auteurs.
La méthode consiste à prendre la parole selon le style littéraire d’un écrivain…
Si je décris une personne : A la manière de l’entomologiste Jean-Henri Fabre… je dois d’abord avoir lu cet auteur pour en découvrir les tics, les méthodes d’écritures, sa syntaxe, son vocabulaire, ses références, ses images idiosyncratiques, ses rituels, ses obsessions, son style. Il faut aussi que le personnage que je décris se prête à apparaître dans ce filtre. Il faut construite une sorte d’adéquation… retrouver dans le modèle le ton qu’aurait employé Jean-Henri pour le décrire…
Le texte final doit être juste…
C’est un pastiche qui ne supporte aucune faute de goût… car c’est à travers la pensée d’un tiers que je conduis mon portrait… entre le style du plagié et la description du modèle… je ne me permets aucun cynisme, dérision, critique, persiflage, mépris… encore moins de médiocrité… ni pour le modèle ni pour l’auteur sollicité…
Je réalise un reflet… le plus parfait possible…
La lecture doit pouvoir offrir une évanescence dimensionnelle… une émotion… une découverte… une autre approche…
Le caricaturiste doit appeler à lui tous ses outils culturels acquis : musique, peinture, photo, lectures, études, rêveries… voyages… langues… qui permettent l’illustration.
Le portrait réalisé se doit de devenir une allégorie où le plagiat offre une nouvelle histoire vierge mais qui offre un parallèle possible… une autre manière de dire… au moyen d’une construction surréaliste…
A voir les dessins de Daumier croquant les prétoires de justice… les lithographies de Warhol… où comment furent caricaturés Marilyn et Mao… relire La Bruyère… La Fontaine… tout ce panthéon… de portraits…
A tirer les portraits photographiques des affiches électorales…

L’Ange Boufaréu.

 

Portrait de Jean Benjamin Jouteur à la manière anthropologique… andy warholienne.

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Portrait de Jean B. Jouteur à la manière anthropologique… andy warholienne

Voilà quelques lustres, je fus invité à causer dans le cadre d’une projection dynamique vers le futur d’un fouriérisme caravansérail projet… l’espace clos rassemblait une dizaine de personnalités forts différentes…

Le thème me dépassa… je remplis ma prestation… puis ma nature ou plutôt mon penchant naturel s’inclina à la recherche d’un indice structuraliste qui unirait ce cénacle… à son insu… s’entend.
Au premier degré de cet aréopage… à ne pas confondre avec aérophage… le premier aréo est un indice de densité alors qu’aéro se rapporte à la légèreté de l’air. L’aréopage dense… et l’aérophage impalpable ne sont pas incompatibles… ils peuvent cohabiter… en théorie.
Les personnalités présentes cultivaient des genres forts différents… ils écrivaient donc… Ab incunabulis « Depuis le berceau… »
Aucun, dans sa représentation sociale ne révélait ce penchant scribo-cogitare… nul n’offrait au regard premier une image iconographique de cette appartenance… chaque gentilé s’était posé au centre équidistant de son aura… ce que l’on nomme le creux de son espace personnel…

Ceux qui se passionnent pour la tauromachie savent que le fauve à cornes qui entre dans l’arène, va élire un espace à lui, un refuge… dans lequel il est indélogeable… pour le vaincre il faut l’en faire sortir… si le matador veut le combattre dans ce refuge il en mourra.
C’est un peu l’image que je superposais sur ce groupe… chacun courtoisement se tenait au centre de son refuge en l’attente de l’échange qui éventuellement le transformerait en fauve pour défendre le cogito-littéraire qui l’animait…

Il y avait Jean B.

Il émergeait… j’allais dire anachroniquement… autrement dit plus anachroniquement que ses congénères, il semblait s’être posé un instant tel un gaucho laissant la bride sur le cou à un cow-boy qui gardait le troupeau… du corps émanait une résurgence tel le clone zygote de Kerouac… il faisait exception… tout en étant parfaitement présent dans le groupe… il semblait personnifier un certain monde indécouvrable tel le mahabharata… Indien… la tour de Babel… les errances de l’ouest… le franchissement messianique de la Mer Rouge… les macadams fuyants à pertes de vues… sous le son des harmonicas…
Durkheim a théorisé la « chose sociologique » elle tend à chercher l’infime différence qui émerge de la même pâte magmatique… à preuve : pourquoi dans une couvée de pigeons blanc, surgit soudain un pigeon noir ?
Chez Jean B. la stature est totémique par sa taille de phare en veille… la parole pondère l’impression physique… la synapse adoucit le regard derrière les lunettes… la phrase est incisive… la voix se pose sur le degré structurel… la base… le fondement… ou elle se tait… la barbe : empreinte fossile néanderthalienne tend à barbariser… à distancier… à mystériser… un pléonasme qui vaut ce qu’il vaut.
Il parle peu… la réponse développe posément une création discursive distanciée… j’allais dire neutre… c’est le seul qualificatif qui correspond à l’acte… il ne crée aucune distance dialectique entre la question posée et la réponse énoncée… car celle-ci devient dans son expression une invitation à l’élévation… à élargir le cadre…

Hosanna in excelsis deo !

En l’écoutant… en le regardant… s’imposa à mon encéphale reptilien le terme de « cambrienne-sérénité » un oxymore forcément durkheimien quoi que, qui émergea entre le minéral cambrien, cette strate de la première ère géologique de notre planète et la sérénité transcendée qui émane du phare… souvenez-vous, cette référence à Rubens qui en son temps révéla le clair-obscur

Plus tard… bien plus tard… ailleurs donc.

Alors qu’il venait de terminer son dernier opus… j’en lu le chapitre incipit qu’il avait diffusé sur les ondes numériques… je découvris la prose parfaitement alignée… dans sa simplicité formelle d’un art premier en sa justesse d’énonciation… je mesurais l’évaluation que j’avais faite jadis… elle prenait tout son sens… quant à mon oxymore de « cambrienne-sérénité » qui devint « errances d’un pantouflard »…

CQFD = oxymore parfait.

L’Ange Boufaréu

 

Voilà peu, j’avais théorisé sur l’homme… avant qu’il ne publie son :

Errances d’un pantouflard

Autobiographie romancée

Sur la route des seventies.

Vers la fin des années 70. Réformé après deux mois d’un service militaire passé à jouer l’asocial dans un hôpital des armées, Yohann, 19 ans, largue tout. C’est-à-dire pas grand-chose. Sans but précis, avec la simple ambition de ne rien faire de sa vie, si ce n’est la volonté de conjuguer à tous les temps le verbe liberté, il prend la route. Esprit rebelle mais plus inadapté à la société que réellement contestataire, il va cheminer au hasard de ses rencontres. Tout à tour motard, communard, routard, zonard, parfois presque clochard, il empruntera des voies marginales dont jamais pourtant il ne vivra pleinement les étapes. Observateur émule de Kerouac, souvent amoureux, de temps à autres affamé, occasionnellement défoncé, Yohann est un vagabond pantouflard qui tente simplement de découvrir qui il est, égaré dans une France se heurtant au point final d’une décennie d’insouciance.

Ci-joint mon texte dans le ressenti de mon patois…

Je te salue Grand Wurzelsep…

Depuis le salon… en l’an 18 de l’ère post-cambrienne… nous nous rencontrâmes, nous nous croisâmes, nous siégeâmes aussi sous la houlette de la Grande Timonière dans la timonerie de la Duchère… mazette !
Mais nous n’échangeâmes point nos mirifiques substantifiques sublissimes concepts qui peuplent nos synapses… palpitantes.
C’est donc au trébuchet de mon sixième sens que je formule mon éloge… à ton égard. Spontanément je te baptisais « Grand Wurzelsep » Grand est donc le résultat d’une tautologie « cogito ergo sum »… passons. Quant à Wurzelsep c’est une litote germanique composée de Wurzel qui signifie « racine » celles que l’on rencontre dans les chemins creux… elles émergent au ras du sol formant un réseau noueux et s’étendent sur des kilomètres… et Sep qui est le diminutif de Josef… Josef étant l’époux de Marie… père de la sagesse… ouvrier charpentier qui couvre la maison… l’ensemble compose un être traversant le néolithique jusqu’à nous… portant la parole sacrée de la sagesse du peuple… usant d’une certaine distanciation… à preuves les livres qui patientent sur le bandeau du blog et illustrent ce que Wurzelsep irradie… Je lis « Don Quichotte, Dickens, Ovide et couchés sagement la Bible et le missel des dimanches… » Ils attendent l’instant utile… « Les livres s’ouvrent seuls aux pages souvent lues » a dit Rostand.
Tu as mis en ligne… l’opus qui paraîtra sous peu…
J’avais déjà dans l’oreille le ton de la voix des apologies… les nuances des analyses… les seconds degrés des approches… parfois les mastications acides des commentaires… mais quid de la pensée-matrice wurzelsepienne… allait-elle être Wagnérienne… Voltairienne… pourquoi pas Dantesque… telle celle d’un auteur au profil de viking débarquant d’un drakkar… boucle d’oreille en bataille… allait-elle « symphoniser » des Walhalla…
Eh bien non !
Je lus l’incipit ouvert… une page intérieure… il révélait l’intime… intime…
Je baignais dans des antithèses humanistes… qui auraient suscité avant 68 les foudres des moralistes… que probablement beaucoup de censeurs pratiquent encore aujourd’hui… la phrase vient du cœur de la chair… celle qui ne se reconnaît pas dans cet espace advenu qui impose le cadre… Dans le ton, aucune anamnèse saignante… ni injure aux conditions vécues… point de ricanements… d’aigreurs…
Non, il expose… il dit le sens des choses… on est surpris par le contraste entre le Grand Wurzelsep et ses mots…
Le ton est accueillant… la phrase pure dit exactement ce qu’elle pense… un profond premier degré… bien rare… décrit une apesanteur… bien simplement mais bien profondément…
J’attends la suite…

L’Ange Boufaréu

 

 

Le poète Denis Daul

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Il y a peu… je causais avec le Grand Jean de La Bruyère celui qui a tant écrit sur la nature humaine. Il m’avouait ne point avoir rencontré de sublime… il me la baillait belle avec son humilité…

« Mon Cher Ange Boufaréu murmura-t-il pensif… Qu’est-ce que le sublime ? L’ai-je défini et consigné dans mon plumitif des Caractères ?

J’ai pourtant bien touillé la pâte humaine… je ne sais ! »
Je philosophais… relativisant…
« Que tu eusses vécu jusqu’à nous… alors eusses-tu joui de rencontrer le Grand Druide du Lac Bleu… l’amitié t’aurait gagné comme elle m’imbiba en son temps…
Il m’est fort de rencontrer cet ami par goût et par estime… je ne le cultive pas par intérêt… oh l’horrible cognandise qu’Hermès notre grand dieu grec de l’écrit eut fustigé avec vigueur. Je le sollicite pour sa gouaille truculence appétence… et ses féeries rythmées qui riment si bien avec poésie.
Je t’ai déjà conté ce moment où l’homme surgit… rafraîchissons ce jour homérique.
Ce fut, lors du Salon des Indépendants à Pierre-Bénite en l’An de Grâce 18 où je tenais table garnie de mes opus en errance… que nul ne convoitait. De loin, j’observais… un homme chapeauté bien en chair occupant avec prestance l’espace et conduisant avec autorité un conventicule de jeunes filles et jeunes gens résolus. Sa voix ardente conférait une dynamique au groupe, tu sais cette force naturelle qui n’appartient qu’aux vrais capitaines… elle insuffle le sens de l’action créative.
Intrigué… je suivis la bande… je me retrouvais dans un espace en forme de théâtre où chaque membre de la horde à son appel surgissait sur les planches pour lire déclamer vivre un poème… que la jeune pousse avait pondu…
Notre homme commentait entre chaque récital… il encadrait guidait suscitait rassurait conseillait… en sorte que tout naturellement je le baptisais Grand Druide… plus tard il devint celui du Lac Bleu… après une transhumance à l’est vers les arpents Suisses qui me sont chers…
Il s’était intronisé lui-même « Deux Nids » ce qui sous tendrait à mon sens une certaine faculté du dédoublement. D’ailleurs sur ce point, il est difficile de cerner l’école épistémologique du premier degré de notre gentilé, car l’art… son second degré tend à gésir sous l’inamovible chapeau.
Pour atteindre la quintessence il faut lire ses rimes… sa passion charnelle irrigue le verbe… ses nuances se déclinent en d’infinis dégradés… des dentelles…
Nul ne pourrait imaginer que ses consonances  dégagent une telle sensualité… il ne force pas la scansion, il ne torture pas la métrique… l’hédonisme s’installe… sobrement… naturellement…  il ne pousse pas le trait… la nature poésie émane de sa chair…
Cet homme Grand Jean est un passeur… il jette des passerelles… il génère la création… il suffit de voir l’enthousiasme de la jeunesse… qui jubile…
Plus tard… la quintessence de son lyrisme passionnel flamboyant le poussa à se retirer dans les alpages afin de vivre ses poésies… rassure-toi ce n’est pas un ermite… là-bas comme on dit chez moi dans le Comtat Venaissin… « Aro, és pasiounadamen coume lou felibre qué s’appliquo a esquicha si rimos »… (A présent c’est passionnément comme un poète qu’il s’applique à esquicher ses rimes.)
Le voilà dans le bain de l’expression totale pour que l’humain… sorte de lui-même… s’exprime… dans l’art poétique…
Nous nous voyons de loin en loin… mais ses rimes m’atteignent grâce aux ondes numériques… par-delà les virus et autres cumulo-nimbus…
Je te le disais mon cher Jean… avec lui on atteint le sublime… »

L’Ange Boufaréu.

Nota Bene : je n’emploie pas le cryptogramme PS… cet anagramme me donne de l’urticaire… je joindrai plus tard deux textes du Grand Druide du Lac Bleu…Dans lesquels il expose ses conceptions de l’écriture : « Avaloura noun es juja ! » : évaluer n’est pas juger… mon bon…

Voici la réponse à ma question : « Pourquoi écrivez-vous? »

Écrire 

Verbe qui fait peur, comme lire, subir, nuire, cuire.
Pourquoi écrivez-vous ?
Voilà bien une drôle de question ?
Est-ce que je vous demande moi, pourquoi vous respirez ? Car pour moi, c’est la même chose. Écrire est une respiration, forte, puissante, qui ne me demande pas d’effort particulier. C’est mon battement de cœur…
Mourrais-je un jour d’une crise d’écrits ? Sûrement mais le plus tard possible.
Comme tous les enfants, j’ai d’abord dessiné avant d’apprendre à écrire. A,B,C,… tous ces gazouillis labiaux. Puis les mots écrits pour la fête des mères, des pères, que la maîtresse nous dictait.
Et les premières vacances en colonies loin des siens, plaisir de la carte postale. Déjà je cherchais Le mot personnalisé afin de faire plaisir.
Puis on découvre les premiers émois. Il est beau, le premier baiser, celui que l’on n’oubliera jamais, et le premier poème qui finit par « Je t’aime ».
Et soudain je découvre la magie des mots, leur puissance, l’acuité et l’intensité qu’ils révèlent.
Révélation !
Écrire pour moi, c’est aussi la musique, que le son et le tempo aillent grandissant. Laisser une trace.
Eluard, Prévert, Brel et surtout Brassens voilà ma base.
Avez-vous remarqué que dans le verbe Écrire, il y a écrit, cris, rire ?
Entendre l’écrit, les cris, que l’auteur a mis derrière ses mots, sûrement murmurés lors de l’écrit, mais transcendés par sa voix, par ses cris, sur scène ou en chanson.
Écrire pour dénoncer, pour magnifier la nature, la Femme (Notez le F), le monde environnant, voilà aussi et surtout pourquoi j’écris !
Il y a aussi Rire, disais-je plus haut, avant d’être interrompu par moi-même…
Dans mes pénates, la lecture de maîtres de la manipulation verbale, comme Raymond Devos ou Pierre Desproges, m’accompagnent au quotidien. Ils sont ma respiration humoristique !
Ils faisaient rimer écrire et rire, leur délires prenant sens dans leur bouche. J’écris en essayant de m’inspirer de ces génies du verbe.
L’anagramme d’écrire est écrier.
Alors modestement, bien modestement, j’essaie de faire passer ma sensibilité, mes colères, mes rires, mon amour de la vie, et chacune de mes poésies sont comme les petites pierres du Petit Poucet, pour retrouver mon chemin, quand je me perds dans mes méandres nocturnes.
Fasse que mon stylo courre encore longtemps sur mes cahiers, pour qu’à la fin de l’écrit… je touche !!!

Denis DAUL