“Quo vadis domine?”

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                                      À l’attention de monsieur le « résident »

                                                                 Citoyen.

Je fais partie de cette glèbe encore debout malgré mes quatre-vingts ans… qui paye ses impôts, qui vote (silence de l’isoloir)(sic), qui analyse, qui constate, qui s’interroge… sur les deux faces de votre médaille…
                       « Quo vadis domine ? »
                                             « Où vas-tu seigneur ? »
Vous connaissez cette célèbre phrase latine qui aurait été formulée, dit-on sur la voie Appia par Pierre à Jésus se rendant à Rome. Il aurait répondu « Je vais à Rome pour être de nouveau crucifié ! » « Seras-tu de nouveau crucifié ? » « Oui, je serai de nouveau crucifié ! »
Alors, Jésus entra dans Rome, il fut arrêté et crucifié la tête en bas.
Plagions, plagions il en restera toujours quelque chose :
« Où vas-tu glèbe ? »
« Je vais à Bruxelles pour poser des questions. »
« Pourquoi ne les poses-tu pas au « résident » ?»
« Il ne répond pas !»
« Seras-tu de nouveau éconduit ? »
« Je le serai ! »
Alors, la glèbe rentra chez elle, et fut retournée la tête en bas… Domine n’a jamais été aussi performant.

Après cet introït… venons-zan au sujet !

Callac.

Lors de vos chuchotements, qui précédèrent les deux rassemblements que Renaissance appelle naturellement « meeting »… en colonne, les plébéiens se rendirent aux urnes, vous fîtes avec cynisme afin de capter les voix des groupuscules-satellitaires à gauche, extrême gauche, gauche extrême, socialisme résiduel, cellule communiste, green-grün-vert, progressistes cancel… et queue et queue taira… vous exécrâtes… le « grand remplacement » qu’en avril vous qualifiâtes de « grand rabougrissement »… avec un clin d’œil de filiation vers la « force tranquille »…
Ah le ni-ni !
Des mots, monsieur !
Or avec Callac… vous organisez vous-même ce « grand rabougrissement » et vous « remplacer » allègrement la glèbe de cette contrée par une autre selon votre bon plaisir.
Pourquoi ce coin tranquille s’était-il dépeuplé ?
Tout simplement parce les clones de « résidents » successifs depuis 81 qui vaut bien 93 ont été sublimes d’efficacité.  Vous avez désertifié les espaces au profit des cités bobos, vous avez ringardisé le peuple… Nous l’avons bien constaté lors de vos prédicats organisés pour faire taire les « gilets jaunes »
Pourquoi dès lors, ne pas réparer le désastre constaté ?
Redonner au peuple de ces territoires, la place qui lui revient ?
Mais parce que ce n’est pas « tendance », le progressisme cancel flamboyant appelle à la « tête à l’envers ».
Pourquoi monsieur ? Il pue ce peuple ? Il n’a pas l’onction des organes humanistes de compassions ? Il est arriéré ce peuple ? Mais à qui la faute si c’était le cas ?
Ah ! pour ce faire, Domine s’entend à merveille avec des fondations privées… sur lesquelles ne transparaît que très peu d’informations… sauf cet Horizons lapidaire… c’est pas moi… c’est l’autre… et soudain arrive le pognon et l’action mais “qui veux-t-on élever?”
Cet horizon-là soutiendrait les personnes défavorisées… et bien… Merci !
Ah ! les horizons indépassables.
Ah ! l’humanisme.
Ah ! le tremolo de l’homme blanc qui se fustige comme vous le fîtes pour déclarer que la France n’avait pas de culture…
Mais monsieur, nous avons des millions de personnes de notre sang chez nous, défavorisées… ici… qui vivent enracinées dans cette culture que vous fracassez… les avez-vous rencontrés ?
N’est-ce pas l’appel poignant des « Gilets jaunes »…
Ne savons-nous pas que des zones paysannes « françaises » se dépeuplent à cause de votre administration énergique renaissance qui multiple par dix les normes… elle sacrifie l’autochtone pour la livraison en avion ?
On attend donc que les suicides fassent table rase pour repeupler la terre ancestrale de groupes venus d’ailleurs… qui imposeront leurs rites… dans certaines zones, c’est déjà le cas !
Arbitrairement, vous donnez le pouvoir à des instances… qui ouvrent la porte à toutes les fondations… d’ici, de là… et surtout d’ailleurs.
Vous illustrez parfaitement monsieur, la réplique de Brecht :

« Puisque le peuple vote contre le gouvernement… il faut dissoudre le peuple ! »

Vous êtes bien parti… vous risquez le Nobel !
Depuis que vous présidez… à la veille même j’ai lu votre « Révolution »… oxymore parfait entre le titre et le contenu à l’eau de rosebonbonsucé… plusieurs fois j’ai rationnellement voulu muter à votre égard… mais votre machiavélisme reprenait le dessus… hélas… à présent je vous écris.
Voilà monsieur ce que j’avais à vous dire.
Salutations citoyennes.
alain iametti alias, alain harmas (nom de plume)

Précision : je suis comme mon nom l’indique descendant d’une lignée étrangère chrétienne… mon arrière-grand-père ouvrier cirier né en 1849 vint de la Suisse-Italienne… mon grand-père fit la guerre de 14-18… mon père fut résistant… j’ai fait trois ans d’armée… nous n’avons eu aucune gratuité…
D’ailleurs, nous n’avons rien demandé.

                                                       Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
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                                                                                     L’Ange Boufaréu

“Non, merci!” pour parodier Cyrano… le 27.08.22.

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En cette rentrée nous avons retrouvé notre Cénacle réuni… l’un de nous, je ne sais plus qui, posa une question étrange à Sosthène qui comme chacun sait est un auteur célèbre… mais seulement connu des riverains de sa rue… laquelle ne compte que 263 mètres et quelques centimètres… par temps sec.
Sosthène prit du souci, selon le dit lyonnais… en tant qu’homme de lettre, il construisit sa réponse en se référant à son ami Rostand qu’il avait côtoyé dans ses jeunes années, le père d’abord, le fils ensuite… sa passion pour Cyrano lui permit d’exprimer ses états d’âmes de septembre… préludes aux froids grands… aux régimes durs… selon le prédicat que notre “résident” évoqua lors du dernier conseil des ministres… nous remarquâmes alors que la gazette d’où est tirée cette photo en copie d’écran… diffusa très souvent ce profil conquérant… car le peuple a besoin de précisions… il fallait le souligner… c’est fait.

Si tu laissais un peu ton âme illusoire
Tu pourrais conquérir la fortune et la gloire.

Sosthène Grumeucheux
Voyons que pourrais-je imaginer de faire ?
Prendre les options… ah ! mais surtout me taire.
Chercher un protecteur puissant… prendre un Macron
Comme un arapède, s’accrocher le dos rond
Attendre son prédicat qui te donne l’amorce
Tel caméléon proclamer avec force ?
Non, merci ! Dédier comme le font les « fon-fon »
Guignol marionnettes, ils se changent en bouffon
Dans l’espoir de voir, sourire le « résident »…
Présent sur la photo, bien sûr, c’est évident !
Non, merci ! Avaler chaque jour son chapeau…
Avoir le dos bossu de courbettes. La peau…
Elle se doit devenir de moins en moins pâle.
Cancel cancel tu dois paraître moins mâle !
Non, merci ! Surtout, ne pas quitter l’ancien clan
Garder les relations comme un bon courtisan
Jouer Sainte-Nitouche… singer avec art
À bouffer des couleuvres, tel un vrai papelard.
Non, merci ! Rejeter ce que l’on a aimé
Renier le cadre qui vous a bien formé.
Harro! sur le conservatisme… vomitif
Gloire au nouveau progressisme transgressif !
Non, merci ! Chez les étrangers, prétendre que
La France… selon la voix démagogique
Du résident du haut de son fier strapontin
N’aurait point créé de culture… quel crétin !
Non, merci ! Mais bien caresser les gazettes
Pour devenir un authentique mazette
Non, merci ! Et sans cesse donner des gages
Aux billettistes qui noircissent des pages
Parler politiquement correct… le vrai faux
Pour être dans l’harmonie sans aucun défaut.
Non, merci ! Se caler derrière le tribun quadragénaire
Applaudir à grand cris comme un actionnaire
Mimétique, le temps est court il faut durer !
Au risque de finir par le presse-purée.
Non, merci ! Hélas, voilà venu le gros temps :
L’ontologique prédicat « L’en même temps ! »
Il permet tout… On a vu la démocratie
Où le peuple a voté… le contraire fut choisi.
Gilets jaunes, bonnets rouges, peuple profond
Le pouvoir te dit que tu as tort sur le fond
Tout ce qui arrive serait une chance
Ne pas croire au réel… demain est immense !
Peuple, tu es déclassé… l’hypocrisie fait
Son miel de fake news un théâtre parfait !
L’objectif des tribuns vise le pouvoir
Peu importe le ton, gagner sans s’émouvoir.
Toi, pauvre péquin où en est ta famille.
C’était le dernier camp… l’intime charmille.
À présent on fracasse… on détruit le lien.
Faut-il te persuader que c’est pour ton bien ?
Exit l’espoir… vient le ressentiment têtu.
Reste à chacun de conduire sa vertu.

                                           Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
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                                                                                     L’Ange Boufaréu

 

Une saison en crétinisme… dernier papier avant les vacances…

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C’était le 26 juillet… les primates en rient encore…

Gentilés d’ici, d’ailleurs, du cosmos, avant de partir en vacances… il vous faut lire le dernier article que mon cher Sosthène Grumeucheux… journaliste libre… me manda…
Depuis qu’il fait sa revue de presse quotidienne, il a vendangé des banastes de lieux communs pondus par ses confrères. Lesquels furent utilisés dans la rédaction d’un article sur le thème du 26 juillet 2022 à l’Assemblée… la fameuse cavalcade que les donzelles de la NUPES !… à tes souhaits ! exhibèrent… dans un élan créatif compulsif et bien sûr collectif… supposé ironique…
Il ne s’est pas gêné dans son article…
Suivons son alphabet qui illustre la démarche de ces dames…

Mon cher Ange Boufaréu…
J’étais présent ce jour-là, où elles imaginèrent cette bouffonnerie. Gustave que tu adores et je te comprends, me soutint pour ouvrir le premier tableau…

A : ailes
« Ce n’est pas tout d’avoir des ailes, il faut qu’elles vous portent. »
En ont-elles l’envergure… le plumage… le ramage… le caquetage… la suite nous le dira… néanmoins, je pense…

B : balle
« Qu’elles se tirent une balle dans le pied »
Car j’ai entendu beaucoup de rumeurs délirantes…

C : cris
… Entre autres une cacophonie « de cris d’orfraies »
Qui, pour l’instant, ne semble pas les effrayer… tu sais l’été… les uns comme les autres font passer sur les antennes bon nombre de dérives croquignolesques… que nul n’écoute… pendant le bronzage…

D : donne
J’ai eu le privilège d’interroger l’une d’elles… elle affirme que la cravate telle qu’elle la porte va « changer la donne »… cette expression illustre le côté « poker » de leurs gamberges… elles se comportent telles des groupies sous les regards du gourou aux allures trotskistien-rassembleur… des NUPES… à tes souhaits !

E : envier
Un journaliste étranger… Donald Brown… non pas ce Donald Brown… je te parle de Donald Brown… faut pas confondre… me disait en anglo-US, épicé de chewing-gum Wrigley cannelle… qu’il avait lu un canard French qui écrivait « We have chance… with that these babe : Que le monde nous envie ! »
Tu sais Ange : « a babe » est une belle nana… c’est sa traduction… oh l’envie quand on ne sait ce qu’il y a derrière…

F : forces
Donald Brown… le même… m’affirme que ces femelles sont des « forces vives »…
Ah bon dis-je pourquoi? Ben c’est bien trouver ça… porter une cravate… alors que ce sont des femelles… ça c’est pas couillon… ça habille d’un chic… la « french touch » Donald se croyait à un défilé de mode d’un couturier des faubourgs… 

G : gain
Tout ça fait du cinéma… pour Hollywood… mon pauvre Donald… mais c’est du « gagne-petit ! »… là, il a fallu que j’explique longuement l’oxymore… car pour Donald… gagner signifie gros… petit n’a aucun sens… il pense gagne-gros…

H : horreur
Mais si Donald a horreur du petit les damoiselles ont une autre horreur… elle citent souvent Jules Renard lequel dit : « L’horreur des bourgeois est bourgeoise ! » car ces dames sont toutes des prolétaires (sic)… en citant Renard elles pensent guillotine… et pourtant… elles siègent dans l’hémicycle… élues… par le bon peuple… enfin le peuple…

I : impacter
Là… pendant cinq ans…bien que le verbe soit incorrect pour l’Académie française… faudra-t-il utiliser cet anglicisme… car « elles ont besoin de projets qui ont du sens… porter une cravate… serait l’un de ceux-là… pour impacter le réel. » ainsi, délaissant la politique (quoi que) elle font du cinéma pour qu’on cause !

L : lignes, lever de boucliers…
Je retrouvais Donald sur cette ligne… popularisée par le rugby… il me dit entre deux rafales de photos numériques de son reflex japonais… mais : « c’est comme ça qu’elles font bouger les lignes ! »il venait de changer de chewing-gum du Wrigley à la menthe… et en face c’est « Une levée de boucliers… contre les gamines ! » ça l’amuse… il me raconte son dernier match contre les Dog de Chicago… où il inscrivit deux essais… 

M : majeur pour monter au créneau
« Mon cher Sosthène, mais c’est un acte majeur ! la création de ces nanas ! »
Tu sais mon cher Ange que ce mot me donne la castapiane ( une sorte de chiasse courante) car ce mot est d’un tel lieu commun qu’il n’a plus aucun sens…
Songe : Scarlatti est un compositeur majeur… le risque incendie est majeur… les inégalités sociales sont majeures… la fusée nord-coréenne s’est écrasée en mer : un revers majeur pour Pyongyang… François Furet marque une rupture épistémologique majeure avec son « La révolution française »… l’État français a classé les archives de Foucault « un intérêt majeur pour le patrimoine »… Alstom décroche un contrat majeur… le président PS commet une faute majeure avec les impôts (s’il n’y avait que là !)… rencontre OM – Ol incidents majeurs… le vol ultra-long courrier un enjeu majeur pour les affaires… nouvelle crise politique majeure en Israël…
Depuis, on ne compte plus « les montées aux créneaux contre tout majeur dévoilé ! » de députés dépités.

N : noir
Depuis la naissance du wokisme… je n’écris plus, je ne pense plus, je ne dis plus : noir…
Tu connais ma prudence sur l’emploi de noir… maintenant lorsque je vais dans un bouchon… je demande un caoua… car…

« Le signifié désigne la représentation mentale du concept associé au signe, tandis que le signifiant désigne la représentation mentale de la forme et de l’aspect matériel du signe. » tu piges? Si tu commets une légère erreur tu t’emberlificotes dans le signifiant vers le signifié, là tu es accusé de racisme… et autre puissance X en isme… là tu crains pour tes yeux… si ton propos renferme l’hypothèse d’erreur dans la désignation mentale de la chose… ces dames sont accro sur ce point… c’est leur fond de commerce… Take care !
Passons !

O : occulte
« L’occulte a toujours fasciné l’inculte » ! ai-je lu. Mais, j’m’doute… je ne connais pas le niveau d’inculture… pourtant je suis certain que ces femelles ont in culte…
Ah ! ce n’est pas le sujet.

P : palpable
Lorsque les filles sont arrivées devant les autres élus endimanchés-ripolinés… les iceux se sentirent tout couillon : « La tension était palpable ! »  Je les comprends…

Q : quotidien
Car pour tout député qui se respecte à défaut de respecter les autres… le cravate au quotidien est une sinécure quasi pavlovienne… et voilà que les minettes se gaussaient de cette parure… assurément c’est le nœud qui les attire…

R : recadrer, retoquer, rafler la mise…
Quel bel enchaînement… car le nœud, la cravate… font partie des prolégomènes cinétiques de la pantomime… préludes où le lider-massimo des cravatées montant sans cravate à la tribune va éructer son recadrage… à l’encontre du pouvoir…  retoquant en emphase… et victorieux nantis des deux oreilles et la queue quitte l’estrade en « raflant la mise »en scène.

S : signal
Là, sous les applaudissements des NUPES… à tes souhaits !… standing ovation of course, des seuls NUPES… oh tu t’enrhumes… on se gargarise après avoir entendu ce :
« Signal fort ! »

T : thuriféraire
Dans un coin perdu au milieu d’un tiers de l’hémicycle… Un député LREM se fait thuriféraire de la bonne parole… ces dames s’en contre-foutent…

U : ukase
La présidente de la séance… devant le bordel… émet un conseil de « savoir-vivre »… Réplique d’une citoyenne voix forte « J’appelle ukase tout décret autoritaire… » puis voix basse… « ça vexe le gouvernement ! »… voix haute… « rires ! »

V : vert, voie royale.
Donald Brown… me souffle… « Le vert est synonyme de vertu… non ? L’écolo serait vertueux ! »
Je tente de lui expliquer que le vert est une couleur… la longueur d’onde du vert serait un élément physique calmant d’où sa qualification de vertueuse… quant à l’écolo… pour ses belliquosités… belliqueuses, il déploie une couleur proche de celle de l’hémoglobine… celle de la : « voie royale qui les anime ! » 

W :
Waouh… répond Donald… ça c’est fort !

sans commentaires

Mon cher Ange Boufaréu… il ne reste que les lettres X et Y… que je traiterai… pour souligner que XY est le système chromosomique sexuel humain… qui induit la masculinisation de l’individu… la cravate et son nœud pour symbole étant la confirmation que ces dames sont envieuses… quelle mutation!
C’est le bon signe de l’évolutionnisme que Darwin attendait…
Pour conclure, laisse-moi te citer ce cher Augustin Cochin, que tu as bien connu dans tes pèlerinages… au début des années 1900…
Je fais le lien… entre « La révolution et la libre-pensée » de Cochin et NUPES… à tes souhaits !

C’est « La destruction de tout organisme politique, corps d’État, corps professionnel, patrie ; destruction de toute foi, de toute idée commune, esprit de corps, patriotisme, et surtout de l’idéal religieux : cela peut s’appeler aussi la liberté, car en même temps que des soutiens et des appuis, il y a des liens, des barrières, des disciplines.
Ainsi, nous retrouvons ici le libéralisme négatif. C’est le seul sens que puisse recevoir le mot liberté, dans une Société. » Je rajoute : Société = NUPES.

Mesurons à quel point la pensée de Augustin Cochin était prémonitoire… 

Gentilés… amis… d’ici… d’ailleurs… de la noosphère… du cosmos… aujourd’hui je m’en vais… je me tais… je vais ruminer dans un “caïre” un coin perdu… pour me ressourcer… je vous bise… je ne vous donne qu’un conseil… tenez-bon tati…

                                                           Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
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                                                                                     L’Ange Boufaréu

 

Vagues de “pruts” et autres flatulences…

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Gentilés de la noosphère du cosmos… et au-delà…

Depuis ma dernière station le 26 mai, ici, en hexagone… dont le monde entier nous envie l’art de vivre… si, si ! nous avons vécu deux grands « pruts » flatulences si vous voulez… farts… consécutifs aux borborygmes d’indigestions… longtemps accumulés…
Ils commencèrent en l’an 2007… lorsque le « résident » à peine intronisé cocufia ses électeurs en recrutant des « gauchistes »… le suivant « résident » spécialiste de l’anaphore « grubatrosugilostract » et accessoirement porte-parole de « mon ennemi c’est la finance (sic) et re (sic) »… enfin le dernier « résident » en fonction, celui-là même qui oriente sa vision selon le creux des vents de la rose des vents… donc 17 ans pour qu’éclatent les authentiques « pruts » puants après deux séances des législatives… qui révélèrent le gigantesque merdier des flatuosités interconnectées triphasées…

Toi! ô Jiang Jun! que t’inspire cette situation ? Tu peux parler… sache que tout restera entre-nous… tu peux parler sans crainte… la parole sur ta main, la main sur ton cœur, ton cœur sur ton portefeuille… tu vois ce que je veux dire !

Lecteurs, je vous rappelle que nous avons invité le Général Jiang Jun… qui de façon cyclique nous fait l’honneur de venir nous faire un « coucou » tout les 25 siècles dans notre chère thébaïde… « jadis » n’est pour lui qu’un instant cosmique autant abrahamique que dynamique…

Ah !… take care Jiang Jun va parler
Mon cher Ange Boufaréu…
C’est moi… merci grand Jiang… de l’affection que tu me prodigues…

Comme je le disais la fois passée…
Si nous voulons que la gloire et les succès accompagnent nos armes, nous devons jamais perdre de vue : la doctrine, le temps, l’espace, le commandement, la discipline.
C’est dans ces cinq matières que se trouve la voie de la victoire.
Or… Ange…
Or… Jiang…
Le guy élu…
Tu veux dire… le « résident »…
Si tu veux… mais tu sais chez nous, on fait comme ici…
Mais encore ?
Tu causes bien le « franglais »… nous on s’est adapté avec le « zhōnglais »…
Magnifique…
Donc je vais te révéler ce que ton 水仙 Shuixian…
C’est qui ça…
Ben ton « résident »
On traduit résident par Shuixian ?
C’est une métaphore…
Eh bien traduit donc la métaphore
Est-ce bien nécessaire ?
Oui!
Bon : Shuixian signifie narcisse… souvent on a recours à ce détour pour éviter les méprises… dialectiques… on donne dans la didactique tu comprends… pour être clair.
Bien sûr… donc le Shuixian aurait dû…
S’il avait respecté les cinq règles, il serait devenu ipso facto… au fait, tu observeras que l’on a aussi intégré le latin…
Quel talent !

Ipso facto donc il devenait celui qui eut répondu à la première hypothèse des trois synthèses :

« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eusses-tu cent guerres à soutenir, cent fois tu serais victorieux »

Or, il ne le fut pas !
C’est ça…
Tu peux nous expliquer…
C’est simple… il croyait que sa belle gueule de Shuixian était suffisante, elle avait fait ses preuves pendant cinq ans… or depuis 2007… tu votes à droite on te fourgue une politique de gauche… tu anaphores en hurlant sur les financiers qui ponctionnent la glèbe… enfin tu chantes ni/ni souvent, en même temps toujours, et surtout tu craches sur la culture… voilà la récolte…
Tu préconises quoi ?
Attends voyons la seconde hypothèse :

« Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales »    

Il est en train d’évaluer ses chances…
Sans doute mais… n’oublie pas la dernière hypothèse…

« Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites »

Quel est ton avis… final… peut-être finaud…
Tu sais mon cher Ange que mes conseils sont recherchés par les grands de ce monde… songe que Clausewitz lui-même m’appela pour que je lui baille les conseils utiles et nécessaires pour bouter ton Napoléon… et même je peux te dire confidentiellement que l’aide de camp de l’Empereur m’avait téléphoné pour que je vienne conseiller l’empereur… Que crois-tu qu’il ait dit… ?
Je ne sais !
Il n’avait pas besoin de moi… alors, j’acceptais de voir la coalition… j’avoue qu’ils ont été généreux…
Et l’Empereur ?
Tu connais le reste… loin sur une île… et pourtant j’avais la solution…
Et pour nôtre… shui…
Tu sais qu’il a étudié un célèbre Italien… Machiavel… je crois qu’il a conservé beaucoup de connaissances…
Il considère que :
« Gouverner, c’est faire croire ! »
Il dit aussi :
« Gouverner, c’est mettre vos sujets hors d’état de vous nuire et même d’y penser ! »
Enfin… il pense que :
« Le hasard gouverne un peu plus de la moitié de nos actions, et nous dirigeons le reste. »
Crois-tu que ce viatique soit suffisant pour cinq ans ?
“la seule question qui vaille est de savoir comment il va conduire l’évolution de ce peuple… de cette culture… de ces traditions… tu vois Ange… ce mec, il n’en a rien à cirer de l’hexagone… et même… tout semble aller vers… une belle déconstruction… ça!”
« … ça… ? »
« Comme pour Napo… ton guy rejettera tous les conseils… » il n’en fera qu’à sa tête!
Ah ! terminons, je dois aller voir les Russes… « tu supprimeras : ton guy, rejettera tous les conseils… de ton compte-rendu… ce propos ne sert à rien… mais tu conserves Shuixian… au fond tu fais comme tu veux!”
Et le peuple?
Le quoi..? Mais mon pauvre Ange… le peuple… tu me fais rire… mais si tu m’invites à nouveau je te présenterai mes analyses… sur ce peuple!

Jiang Jun… grand seigneur demanda un fēn 分*  pour le conseil…
(*Précision du lecteur-correcteur 1 分 = 1 centime)

谢 谢! 大 将 军  xiexie ta jiang jun (merci grand Jiang Jun)

                                                Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
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“Ce qu’il advint lors de la rencontre entre Jiang Jun et Raoul L.” Vingt-et-unième station.

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(Libre interprétation des mémoires de Sima Qian historien chinois de l’époque des “Royaumes combattants” de – 453 à -221 avant J.C. qui traita des vies illustres dont celle de Sun Tse, lequel écrivit: :  “L’art de la guerre”  孙子兵法… Sun Zi Bing Fa.)

Ils sont deux… le silence était impressionnant après tant de tumultes…
Ils s’observent… chacun en bout de piste d’un aéroport…
Les heures filent… aucun atterrissage… aucun décollage… aucune vie… personne ne vient vers eux…
Pendant trois jours… progressivement ils ont avancé leur siège…
Ils se sont presque rejoints…
Ils sont face à face…
Dix mètres…
Deux mères…
Un mètre…

ici…           là…

… mon nom est Jiang Jun.
… moi, c’est Raoul L.
… je suis général et toi ?
… on m’a classé chez les « nouveaux philosophes »… je te connais… Sima Qian parlait de toi… je ne pensais pas te rencontrer… ici…

… qu’est-ce qu’il dit Sima ?
… attends je vais ouvrir ma tablette, elle sait tout… j’ai lu plusieurs fois l’introduction concernant ton traité de la guerre… écoute…
… je connais…
… oui… mais le lecteur…
… ça existe encore ?

… Jiang Jun est un homme du Qi. Il fut reçu par le roi Helu du royaume Wu :
« J’ai lu les treize chapitres de votre « Traité de la Guerre » lui dit le roi. Pouvez-vous me faire une petite démonstration sur l’entraînement des troupes ? »
… certes !
… pouvez-vous essayer avec des femmes ?
… c’est possible !
Alors, on fit sortir du palais cent quatre-vingts belles femmes. Jiang Jun les répartit en deux équipes, nomma à leur tête les deux concubines préférées du roi et ordonna à toutes de tenir une lance.
… savez-vous reconnaître votre devant, votre dos, votre gauche et votre droite ? demanda Jiang Jun.
… nous le savons !
… quand je dirai en avant, regardez devant vous, si je dis à gauche, tournez-vous vers la gauche ; à droite, tournez-vous vers la droite ; arrière, tournez-vous vers l’arrière.
… d’accord !
Il donna les sabres et haches de guerre… en répétant cinq fois les explications.
Il fit donner du tambour et commanda :
À droite ! Toutes les femmes éclatèrent de rire…
… mes explications n’étaient pas claires… mes ordres n’ont pas été compris… c’est ma faute.
Il répéta ses explications plusieurs fois puis… il fit donner du tambour et commanda :
À gauche ! De nouveau les femmes éclatèrent de rire…
… si les ordres ne sont pas clairs et n’ont pas été compris, c’est la faute du commandant en chef… mais si les ordres étaient clairs et s’ils n’ont pas été obéis… c’est la faute des officiers !
Dès lors Jiang Jun prit les dispositions pour trancher la tête des deux concubines chef…
Le roi affolé envoya quelqu’un pour dire :
J’ai compris que vous êtes capable d’utiliser une armée ! Ces deux femmes sont mes concubines préférées sans qui la nourriture n’aurait plus aucun goût pour moi… laissez-les en vie !
… vous m’avez donné l’ordre de prendre le commandement en chef… or, celui qui est à la tête d’une armée ne reçoit d’ordre de personne, pas même du roi.
Il fit décapiter les deux femmes…
Puis de nouveau il frappa le tambour…
Les femmes tournaient à gauche, à droite, devant, derrière, s’agenouillaient, en respectant rigoureusement les règles sans qu’aucune n’ose prononcer un mot.
Jiang Jun envoya un messager :
Vos troupes sont prêtes, vous pouvez les éprouver et venir les inspecter. Il suffit que vous vouliez les utiliser et elles pourront même traverser l’eau et le feu.
… allez dit le Roi… je ne veux plus vous voir…
… le roi apprécie la théorie… mais ne souffre pas la pratique ! »

Silence…

Raoul L : le roi avait compris… il était inutile de couper la tête aux deux femmes…
Jiang Jun : la nomination du général appartient au domaine réservé du souverain… la décision de la bataille est celle du général… au vu des résultats, le roi décidera.
Raoul L : que fais-tu de l’humanisme… le roi aimait ses femmes…
Jiang Jun : Le roi a dit « Pouvez-vous essayer avec des femmes ? » c’est qu’il voulait éprouver toutes les situations, dans une guerre, l’ennemi ne fait pas de différence : hommes, femmes, enfants, vieillards… ils sont tous opposants… le roi voulait une preuve… il l’a obtenue.
Raoul L : … le roi reste le souverain qui décide…
Jiang Jun : il voulait le réel… mais pas des mots… dans la guerre, le général guide les opérations pour la victoire… s’il perd il sera jugé… s’il gagne ce sera le triomphe du roi qui aura su choisir son général… n’as-tu pas fait la même chose, lors de ta dernière guerre ?
Raoul L : je reste sur cette noble idée qu’il ne fallait pas exécuter les femmes.
Jiang Jun : tu joues sur les éléments… une femme nommée « officier » perd son sexe et gagne une fonction… c’est l’officier qui a désobéi… je suis général, je suis nommé pour cette qualité, je ne suis pas moraliste… le roi me demande de diriger la guerre… on ne fait pas la guerre avec de la morale…
Raoul L : c’est primaire…
Jiang Jun : dis-moi Raoul L. … tu as dit : on m’a classé dans la catégorie des « nouveaux philosophes ». Pourrais-tu être dans une autre classe ? Celle des anciens ? Mais ceux-là n’étaient-ils pas assez philosophes pour toi ? Es-tu donc philosophe, nouveau-philosophe ou autre chose… ta mouvance n’aurait-elle d’autre niveau que celui de ta propre classe ?
Raoul L : question étrange !
Jiang Jun : tiens donc, mes questions sont étranges !
Raoul L : quelle est la justification de ta question ?
Jiang Jun : Tu me demandes des justifications… et tu n’as pris aucune précaution pour qualifier mon acte : d’inutile. Je répète : je suis général… ni ancien général… ni nouveau général… ni autre type de général… seulement général… J’adhère à l’idée que le roi ait la gloire et les succès… j’applique la règle : celle de la doctrine.
Je constate que la tienne : ta doctrine vire comme une girouette… : tu es philosophe ancien… nouveau-philosophe… on te classe là… tu te classes ailleurs… tu clames des causes sans mandats… tu te drapes à grand bruits dans des facettes… ta génération prétend créer de nouveaux penseurs… sache qu’un général commence toujours par définir la doctrine de son adversaire pour l’affronter…
Raoul L : la doctrine est un carcan… elle doit s’adapter…
Jiang Jun : c’est ça, comme un caméléon… mais, sache que la guerre est intemporelle… à preuve, depuis 27 siècles les peuples du monde s’inspirent de mes théories, car les hommes qui veulent le pouvoir sont toujours les mêmes… seuls les « nouveaux-philosophes » prétendent le contraire… tout en s’inspirant de leurs méthodes…
Raoul L : il faut repenser les liens, la démocratie est la voie…
Jiang Jun : tu veux parler de l’habillage du pouvoir…
Raoul L : j’ai consacré ma vie à harmoniser les rapports entre les peuples !
Jiang Jun : … d’où vient cette vertueuse intention?
Raoul L : la raison !
Jiang Jun : si c’est la raison… pourquoi ne t’attelles-tu pas à la déraison à l’insécurité à la désunion qui règne chez toi… dans l’hexagone ?
Raoul L : j’œuvre pour l’humanité…
Jiang Jun : l’hexagone est trop petit pour toi…
Raoul L : je réveille la conscience de l’homme…
Jiang Jun : tu clames cette farce pour ta propre gloire…
Raoul L : depuis toujours je milite…
Jiang Jun : tu emploies les mêmes qualitatifs que tu brandis depuis le début de ton prédicat, tu as appartenu à toutes les époques du marxisme pur au libéral-étasunien impur… c’est ça ta doctrine… elle est résumée dans le qualificatif « nouveau »… et comme chaque matin est nouveau… tu adaptes ta doctrine… à la conjoncture… nouvelle !

Raoul L : … sauver l’humanité tel est mon engagement…
Jiang Jun : c’est ça, un « passant engagé » qui se veut immortel… depuis 27 siècles, tu es le millième à prétendre diffuser le nouveau prédicat sur des barricades vantant des théories et faisant fi des pratiques… c’est « L’éternel retour » qui te taraude…
Le souverain décide des orientations… le général n’est qu’un moyen… il doit agir selon les règles de la doctrine… le roi doit savoir qu’il vaut mieux deux têtes qui tombent que 50 millions de morts qui ne se relèveront jamais… dans un royaume détruit…
Pour toi, les anciens étaient trop antiques… ta génération et ses thuriféraires ont créé les fameux « modes-philosophes » qui s’emparent des théories du moment…
Tu n’es ni général soumis aux Règles…
Ni souverain lié aux Lois…
Tu te prétends être au-dessus de ce cadre… alors… tu ratiocines sans fin pour ta propre gloire.

Silence…
Soudain une annonce…

« Les deux derniers vivants de l’humanité sur la noosphère sont invités à se présenter au comptoir d’enregistrement, pour le dernier vol aller-simple vers les cieux.
Embarquement immédiat ! »

                                                  Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
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                                                                                     L’Ange Boufaréu