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Gentilés… lecteurs.

A l’âge de mon retrait de la vie socio-économico-financiaro-politico-professionnelle-citoyenne… autrement dit le 2 août 2002… j’entrais dans la phase dite : retraité… né babyboumeur… en 42… je capitalisais 60 étés.
Qu’allais-je faire ?
J’avais longuement préparé ce retrait…
Je lui avais assigné trois objectifs dans l’ordre :

  • Découvrir la Chine
  • Réaliser les Chemins de Compostelle
  • Écrire

Mes voyages en Chine se déroule de 2001 à 2013 : je réside quatre ans à Shenyang de 2002 à 2005 où j’enseigne le français, en 2013, je parcours le Grand Canal pendant trois mois.
Compostelle se déroule de 2006 à 2014 chaque année en alternance avec la Chine, je réalise deux voyages printemps/automne.
J’écris à partir de 2002…
En 2016 je crée une maison d’Éditions : Les Éditions Alain Iametti pour gérer mes publications.
Je participe à plusieurs salons à Paris et en province.
J’ai décidé d’éditer mon dernier opus « Le Révérend John Smith et son aide de camp », à raison d’une livraison par semaine sur mon Blog : www.legrandcanal.com

Je vous souhaite bonne lecture.
Je signale que j’écris sous le nom de plume de alain harmas (qui signifie friche en provençal)

alain harmas

                                                    Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez les opus édités…
                                                                                
L’Ange Boufaréu, alias alain harmas

 

Les vitraux de Notre Dame de Paris…

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Gentilés…
Je vous souhaite une année rabelaisienne lumineuse à forte santé totale… je suis généreux en ce début des temps de Grâces…

J’ai ouï lu… que le « résident » dans ses salons du haut de son mont-ticule… supputait de réaliser un appel à candidature pour créer des vitraux en lieu et place à Notre Dame de Paris…

Il semblerait que les artistes ès vitraux modernes… aient vent en poupe… car « le résident » est un homme… progressiste… qui aime son peuple artisan… il veut du moderne.

J’ai réalisé une hypothèse que je vous soumets… je sais, je ne suis pas un artiste du vitrail… mais avec un scanneur, une imprimante, des ciseaux et de la colle… on arrive à des résultats… critiquables…

Oui, notre « résident » veut passer à la postérité… pour des siècles et des siècles… Amen!
Imaginez-vous, visitant Notre-Dame en fin de l’An de Grâce 3024… en entrant vous découvrez le célèbre vitrail du saint… qui a donné sa vie à la Gaule… qui n’en avaient rien à foutre… alors… gentilés… c’est le recueillement devant tant d’abnégation…

Hélas!

                                                       Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez les opus édités…
                                                                                       
L’Ange Boufaréu.

Clap de fin… 31 décembre 2023

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Cette année échue… j’ai été peu présent sur le pont du navire Blog… je méditais… « ère cabussa dedins uno founs meditacioun… j’étais plongé dans une profonde méditation… » chuchotèrent les Félibres Provençaux qui m’assistent.

Jean de La Fontaine suggéra que : « les ans en sont la cause » … l’arthrose aussi !
Nonobstant, on dit qu’avec le temps, l’antique ne voyant plus les détails acquiert une certaine distanciation permettant l’émergence du réel.
Quel est donc ce réel ?
C’est le même que celui qui règne depuis 2016.
En cette fin d’année-là, je lus l’opus d’un « marcheur » dans ses starting-blocks.
L’angelot rigolard arborait le marcel-maillot « Révolution » … j’m’doutais.
Quelques mois plus tard, le peuple l’adouba… lui et sa « Révolution » prophétique.
Je révèle haut et clair que je n’en suis point responsable, car, ayant exploré en diagonale, en large, en travers, en profondeur, le style, le contenu, le fond, la forme et l’extase du scribe, j’ai flairé la mise en scène… je n’ai pas souscrit…
Quelques voix autour de moi qui avaient eu le geste fugace de feuilleter le texte, émirent une litote distanciée spatio-temporelle : « C’est trop beau pour être vrai. ».
Mais le scribe était si adorable, il sentait si bon le sable chaud. Certains même avant la grande votation, lui donnèrent le bon dieu « ni-ni » sans confession tel « l’angelot » négligeant l’exégèse intemporelle quant aux sexes des anges… error irrationalis…
Ils n’ont pas vu le tréfonds de « Révolution » cet ensemble de prédicats … qui révèle à présent 7 ans plus tard un florilège d’annonces qui ne furent que du vent… le « en même temps » se poursuit… nous le boirons jusqu’à la lie… à l’hallali…
Sans doute ne fut-il pas le seul à suivre cette voie de ne point réaliser ses annonces… mais « l’angelot » ne se contente pas d’une seule promesse non tenue, il sème chaque jour sa sinécure antithétique… voire plusieurs fois pas jour… il enfume…
Il illustre ce principe : que le prédicat est au séculier ce que l’oracle est au prophète. Pour beaucoup le « résident » cumule le pouvoir séculier autant que l’état de prophète.
Je me fustigeai d’être à ce point critique. Alors, je suivis les auteurs, les gazettes, les journaux, les podcasts TV, les émissions, les replays youtube et journalistes… certains.
En cette fin d’année 23… j’ai cueilli une phrase énigmatique :
« Si le « résident » angelot était aimé… ça se saurait ! »
Mais alors qui l’a élu ?
Depuis 2016 je ne sais qu’une chose : ce « vide éthique » détruit notre cohésion, notre culture, nos traditions, nos réflexes antiques, notre nation. Il agit avec désinvolture sans colonne vertébrale nette ni distanciation, il nous fracasse sous nos yeux, aux grès des vents mauvais… pour sa gloire.

« Gentilés : Mille vœux à vous et à votre Santé… tenez bon tati ! » 

Adessias.

 

Et pendant ce temps… Eh! l’Agirc-Arrco… Coco!

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Il était une fois…

Dans mes études… très anciennes… au CNAM… nous eûmes à étudier la création et la gestion des régimes de retraite de l’Hexagone : depuis la Libération en 45.
Le principe qui avait été proposé à la base, était celui d’un régime général où tous les travailleurs cotiseraient pour payer les retraites des anciens : style égalité devant le travail et ses conséquences, qui aurait dû avoir l’assentiment du peuple de gooooche !

     Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes                                                                        Gentilés                                                                          Si le voulez bien                                                                        Lisez suite jour prochain ... vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/ ... vous trouverez l'opus "Le Fils du Vent"                                                                                      L'Ange Boufaréu

Hé bien non : certaines professions du secteur public refusèrent de cotiser à ce pot commun, arguant que le nombre des « travailleurs » de ce secteur était de très loin supérieur à celui de ses retraités.
Il était donc hors de question que le secteur public paye pour les autres catégories du secteur privé !
                                               De goooooche : c’est clair ?

L’État courba l’échine et créa des régimes spéciaux pour ces secteurs arrogants, plus égaux que les autres… tous dépendants de l’État : le secteur public !!!!! bien sûr !!!!!
La SNCF fut l’un de ces régimes où les roulants étaient plus nombreux que les retraités avec lesquels le régime spécial SNCF engrangea un pactole… hélas.
Peu d’années après, la situation s’inversa : le nombre de roulants devint très largement minoritaire, leurs cotisations ne pouvaient plus assurer la retraite des anciens, le pactole devint peau de chagrin, le régime allait à la faillite !
L’État décida unilatéralement un diktat : une opération pickpocket.

Style… B… d’affaires… B comme business… boxon… baisé… bref!

C’est ainsi que les fonds épargnés du régime général, qui n’avaient reçu aucune cotisation des roulants de la SNCF, prirent le relai pour sauver le régime des donneurs de leçons, dans le mutisme total des syndicats soudain silencieux…
L’argent du privé dut accepter sans broncher de secourir ceux qui les avaient snobés.
Le « résident » actuel du faubourg Saint-honoré du haut de son mont-ticule… est en passe de faire le même hold-up.
Il nous fait encore le coup dont il est coutumier tel le Covid entre autres quant à sa volonté de mutualisation à l’européenne… style banquier d’affaires :
« J’ai rien tu as tout on partage et je prends 50% sans frais ! »
Mais aussi, où il est démontré que le secteur public ne sait toujours pas gérer ses structures, lire les rapports de la Cour des Comptes : (parfaitement inutiles)… l’État rapine dans les caisses du privé, tout en se déclarant ni de gauche ni de droite… banquier vous dit-on !
Silence dans les rangs de l’opposition…
Mais au fait : « y a-t-il une opposition ? »

                                          Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez l’opus « Le Fils du Vent »
     
L’Ange Boufaréu.
                                                                         

Tango

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Hier, mon ami…

Pablo y Vargas y Hombre y Cantar de los Tangos de Galicia
… vint me saluer, il venait en France pour vendre de la viande, à un distributeur… je l’avais rencontré du côté du Finistère… là-bas, il élève des taureaux… ho ! ho !

… Oh ! Ange… (Ange, c’est moi : L’Ange Boufaréu)
… si tu savais ce qui m’arrive…
bebe tu pastis luego hablaras… a tu salud Pablo…
a tu saludAnge !

Il boit et claque la langue… en posant le verre… que je remplis… à nouveau…

… tu as lu le journal Francès, il dit que les Français doivent arrêter d’élever les vaches… ellos están locos… tu sais pourquoi ?
… si, los Verdes Francès de la política dicen… (les Verts français de la politique disent) que les vaches pètent trop elles saturent le ciel de flatulences… alors, il faut arrêter de les élever en France… sinon on va mourir asphyxiés…

Pablo me regarde, tel une statue de sel des époques bibliques… incrédule…
que passa Pablo ?
… je commence à comprendre… imagine-toi, je suis allé dansé le tango… tu sais que j’adore le tango…
… et ?
… et ! j’invite una bella chica… rubia… preciosa… moi, j’aime les filles blondes… en chair… j’avais demandé un tango torride… alors, je m’emploie à donner à la bella chica le meilleur de moi-même, tu sais avec la main dans le dos pour la guider, je lui invente des véroniques de matador, des figures extraodinaires, je la sublime avec mes politesses d’hidalgo, vé Ange, une merveille… tu sais que je danse comme le dieu du tango…
… si… et au passage tu frottes un peu…
ben c’est normal… c’est tango… la chica s’arrête, elle me fait une tête de sept pieds de long, elle veut retourner à sa place toute seule alors que le torero doit la raccompagner… elle me toise et alors que la musique repart pour un autre tango… elle me dit :
… merci, ça va, un seul tango… monsieur… ¿cómo te llamas?
Pablo, mi nombre es Pablo¿Qué está pasando? Qu’est-ce qu’il se passe ?
… moi c’est Fernande, assieds-toi hidalgo, je vais t’affranchir… qu’elle me dit.
… mon pauvre Ange, la honte que j’entends, tu vois la preciosa me dire à moi que je suis plus à la page et m’ordonne de m’asseoir, le monde à l’envers, comme les vaches Francès qu’il faut plus élever parce qu’elles pètent, mais c’est la nature, comme le tango… c’est un grand hommage à la femme…

ici, dit-elle… qu’est-ce que tu bois Pablo?
Tequila…
… ici, jadis… les « blancs » nous servaient la même guimauve… la grande tirade de la courtoisie, la politesse, la main dans le dos pour te manipuler, les courbettes que tu aurais gymnastiquées en inspectant la femelle pour savoir où comment et quand tu vas la baiser… et je te pelote… et je te frotte… et je te déverse des prédicats mielleux… et je te raccompagne avec des courbettes… et je te joue le romantisme latin…
… Ange… j’en croyais pas mes oreilles…
… ben tu vois Pablo… ici, c’est fini…
… mais la politesse… ça existe…
… ouais, la politesse édictée par l’homme blanc… catho… paternaliste… prétexte à endormir tes défenses… pour mieux te baiser… ça suffit… dominateur!
… mais il y a des différences…
… il n’y a plus de différences… à présent, pour venir dans l’hémicycle on porte la cravate et le pantalon, inaugurés dans les années 60 par Saint Laurent…
… mais c’était un…
… qu’est-ce que tu as contre eux… ? À présent on est identique…
… ben pas tout à fait…
… tu plaisantes Pablo… qu’est-ce qu’il manque ?
… ben… dans ma culotte… y’a un bout… que tu n’as pas…
… t’as vu la vague « genrée » pour réduire ce petit pédoncule inutile… tu es contre l’égalitaire ?
… je ne vois pas l’égalitarisme… il y a la femme et il y a l’homme… et basta !
… depuis deux mille ans d’erreur historique… on nous a parqué dans le clan nana… c’est marre… il n’y a plus ni vierges ni nubiles ni gravides ni ménopausées ni même femelles… c’est fini le clair-obscur de l’être et du paraître… à présent c’est l’égalité… au pouvoir… on a décidé de choisir son genre…
… pas possible…
… c’est ça, la côte d’Adam devenu le souillon du mec… non ça ne passe plus… il faut regarder le réel, le vrai… à présent, nous avons la capacité de nous recréer, de nous gouverner nous-mêmes, nous avons atteint la maturité… et la maturité des masses ne tardera pas… les différences seront laminées…
… en coupant tout ce qui dépasse ?
… en coupant tout ce qui ne sert à rien… à l’apothéose de l’égalité… par décision de nous-même… la cravate et le pantalon ne sont pas des attributs du pouvoir paternaliste, ils sont universels…
… j’y comprends rien… alors ça va que dans un sens… mais, dis-moi, comment on fait los niño… y los niña…
… la science est universelle, elle peut tout… c’est le sens de l’histoire… il n’y a plus de sexes discriminants… on choisit… son genre…
… Ange…
… je te jure… j’avais plus envie de tango… ni de Tequila, elle m’avait foutu les jetons la… le… vis-à-iel… pourtant il y avait une question que je voulais poser… je ne savais pas comment la formuler…
Mais comment dire elle… il… iel me regarde… tu sais plus.
… tu voudrais que je réponde à la question qui te démange…
… est-ce possible… mademoiselle Fernande ?
… y a plus ni la mademoiselle… ni le Fernand de jadis… j’ai décidé de choisir mon genre… en coupant ce qui me gène…
Fracassé… le Pablo… devant un sujet si peu véniel puisque réduit à iel
… je crois que je dois y aller… Ferna…nan…dan…na…no…tan… go!
Buenas Tardes Pablo… la tequila, c’est pour moi…

Je sortis… j’étais sonné, j’avais rien bu… il faisait nuit dehors et dans ma tête…
… tu sais pas Ange… pendant tout le temps que je marchais pour revenir à mon hôtel… je me disais :
« Putain Pablo… tu te fais vieux! Tu as fait un tango avec un mec raccourci… tu t’en es même pas rendu compte, en plus tu avais envie de la… le… bais-iel ! »
… Ange mi amigo… el futuro es oscuro… ya no entiendo nada…
Demain, je retourne chez moi… je reviendrai plus dans ton pays… là-bas chez moi j’irai vivre avec mes vaches qui continueront de péter dans mes champs… et je te vendrai ma viande sur le Net…
… estos Francés realmente se quedaron… ils sont demeurés… de bêtise… totale…
Adios Ange… amigo.

                                                    Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez l’opus « Le Fils du Vent »
                                                                                        L’Ange Boufaréu