Et pendant ce temps… Eh! l’Agirc-Arrco… Coco!

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Il était une fois…

Dans mes études… très anciennes… au CNAM… nous eûmes à étudier la création et la gestion des régimes de retraite de l’Hexagone : depuis la Libération en 45.
Le principe qui avait été proposé à la base, était celui d’un régime général où tous les travailleurs cotiseraient pour payer les retraites des anciens : style égalité devant le travail et ses conséquences, qui aurait dû avoir l’assentiment du peuple de gooooche !

     Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes                                                                        Gentilés                                                                          Si le voulez bien                                                                        Lisez suite jour prochain ... vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/ ... vous trouverez l'opus "Le Fils du Vent"                                                                                      L'Ange Boufaréu

Hé bien non : certaines professions du secteur public refusèrent de cotiser à ce pot commun, arguant que le nombre des « travailleurs » de ce secteur était de très loin supérieur à celui de ses retraités.
Il était donc hors de question que le secteur public paye pour les autres catégories du secteur privé !
                                               De goooooche : c’est clair ?

L’État courba l’échine et créa des régimes spéciaux pour ces secteurs arrogants, plus égaux que les autres… tous dépendants de l’État : le secteur public !!!!! bien sûr !!!!!
La SNCF fut l’un de ces régimes où les roulants étaient plus nombreux que les retraités avec lesquels le régime spécial SNCF engrangea un pactole… hélas.
Peu d’années après, la situation s’inversa : le nombre de roulants devint très largement minoritaire, leurs cotisations ne pouvaient plus assurer la retraite des anciens, le pactole devint peau de chagrin, le régime allait à la faillite !
L’État décida unilatéralement un diktat : une opération pickpocket.

Style… B… d’affaires… B comme business… boxon… baisé… bref!

C’est ainsi que les fonds épargnés du régime général, qui n’avaient reçu aucune cotisation des roulants de la SNCF, prirent le relai pour sauver le régime des donneurs de leçons, dans le mutisme total des syndicats soudain silencieux…
L’argent du privé dut accepter sans broncher de secourir ceux qui les avaient snobés.
Le « résident » actuel du faubourg Saint-honoré du haut de son mont-ticule… est en passe de faire le même hold-up.
Il nous fait encore le coup dont il est coutumier tel le Covid entre autres quant à sa volonté de mutualisation à l’européenne… style banquier d’affaires :
« J’ai rien tu as tout on partage et je prends 50% sans frais ! »
Mais aussi, où il est démontré que le secteur public ne sait toujours pas gérer ses structures, lire les rapports de la Cour des Comptes : (parfaitement inutiles)… l’État rapine dans les caisses du privé, tout en se déclarant ni de gauche ni de droite… banquier vous dit-on !
Silence dans les rangs de l’opposition…
Mais au fait : « y a-t-il une opposition ? »

                                          Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes

                                                                       Gentilés  
                                                                       Si le voulez bien
                                                                       Lisez suite jour prochain
… vous pouvez aussi charger le lien des éditions Alain Iametti sur votre moteur de recherche : https://www.editionsalainiametti.com/
vous trouverez l’opus “Le Fils du Vent”
     
L’Ange Boufaréu.
                                                                         

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