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Bonjour gentilés… en ce jour radieux… j’ai deux communications :
La première concerne Les éditions Alain Iametti
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La seconde… est tirée de la correspondance de Flaubert… elle concerne la raison qui a résonné dans mes synapses… en ces jours d’anti-raison…
« Comparaison n’est pas raison »… écrivait Gustave, dans sa correspondance…
La formule est séduisante mais ambiguë parce qu’elliptique… je pense qu’il songeait à l’art de raisonner et non le fait d’avoir raison… autrement dit, on peut raisonner sans avoir raison…
Nous allons suivre cette voie… sans voix… in petto donc: si je compare… suis-je en train de raisonner ?
À l’aube des élections futures d’avril… ne serait-il point raisonnable de raisonner ?
Je vous invite à nous intéresser rétroactivement au livre-programme du « candidat » édité en 2016.
Titre flamboyant « Révolution » lequel candidat fut « résident élyséen » de l’an de grâce 2017… à celui de 2022… cinq ans donc… de révolution…
Page 250/251, chapitre XVI : Rendre le pouvoir à ceux qui font.
Concernant la fonction publique le candidat écrit : « Je suis à cet égard favorable à ce que nous maintenions le concours de celui de l’ENA. »
Éphéméride du quinquennat.
Emmanuel Macron a annoncé le 8 avril 2021 qu’il allait « supprimer l’ENA » pour la remplacer par un « Institut du service public »
Page 265, chapitre : conclusion.
Concernant la culture : « Je veux une France qui transmette sa culture, ses valeurs. »
Éphéméride du quinquennat.
Le candidat annonce à Lyon le 6 février 2017 « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse »
Page 75, chapitre VI : Investir dans notre avenir.
Le candidat ému de tant réalités… écrit :
« La désindustrialisation française est en effet l’une des causes de notre malheur. »
On a vu, en 2020 et jusqu’à présent ce qu’il en était… pendant le désastre médical… c’était la Chine qui livrait des masques et autres médicaments… dont nous avions concédés les fabrications, car nos élites s’élisaient lointains des bleus de chauffe maculés de cambouis, sur leurs mont-ticules du haut de leurs strapontins dans les sphère bobos réflexives… déchus, nous étions incapables de fabriquer pour nous protéger… effectivement pour notre malheur…
… mais en ces jours du solstice d’hiver… à quelques encablures du 10 avril… le « résident » s’agite… tel le sémaphore, il lance des anaphores ampoulées de métaphores… métamorphosé en luminophore… il tente d’éviter le pyrophore du premier tour… ah il est phosphore, lequel substantif signifie « porteur de lumière »…
… n’est-ce point cette chimiluminescence que le corps du « résident » irradie?
… pour notre bien…?
… ça va bien se passer…!
… ô za na !
Et c’est ainsi que murmurent les tortues blondes
Gentilés
Si le voulez bien
Lisez suite jour prochain
en attendant , méditez… phosphorez… ardemment… vous avez encore le temps… ça va bien se passer…
L’Ange Boufaréu